extraits du journal local REGARD EN MARCHE
Journal de juin 2007
Lu dans En Marche le journal paroissial
LA VIE DE NOS COMMUNAUTES CHRETIENNES.
EDITO
La fête a perdu son sens
Chacun sait que dans notre région, nous aimons faire la fête. Les occasions ne manquent pas, et c’est soit un anniversaire, soit une réussite aux examens ou la rencontre d’amis que l’on a pas vu depuis, au moins deux mois, que s’improvise une mini fête entre amis ou avec la famille.
Dans notre province, la fête se décline sous de nombreuses couleurs. La kermesse, la ducasse, la foire, agricole ou pas, et les fêtes religieuses qui ont vu, au cours des années, venir s’installer les forains avec leurs manèges : à Ardres le jour des Rameaux, le 15 août.
Mais il y avait aussi dans des temps pas très anciens, les bals des associations qui engendraient de nombreuses réjouissances. Qui n’a pas entendu parler du bal des pompiers, du bal de la musique, souvent au soir de la fête de sainte Cécile, ou du bal de la ducasse, et bien d’autres bals qui s’organisaient le dimanche soir à la salle des fêtes du village. Avions-nous l’ivresse plus joyeuse ou les idées moins belliqueuses ? Souvent ces distractions finissaient dans la joie ! La société a-t-elle changé à ce point que nous ne soyons plus capables de préparer ces fêtes ? Plus aucune association ou société n’ose se lancer dans cette aventure. Les risques de dérapage sont trop grands par rapport à l’économie que l’on peut en tirer pour le renflouement des caisses. Alors ces petites fêtes ont disparu, remplacées par des lotos ou manifestations de ce genre.
Mais la fête, c’est l’exception. C’est le dimanche des villes et des villages. Elle fait sortir de chaque être et de chaque lieu « l’autre » qu’il porte en lui-même, l’autre plus beau, plus souriant, plus aimable, plus aimé, plus serein, plus vif. Par elles, les villes retrouvent un nom propre. C'est-à-dire une histoire. Solennellement ou ludiquement, une communauté y met en scène son passé avec ses joies fortes ou ses grandes peurs. Son avenir aussi. Car la fête de village ou de quartier est la meilleure réponse au monde mondialisé, c’est à dire uniformisé, appauvri, anonyme, qui nous attend.
Philippe Labre
JOIES ET PEINES
BAPTEMES
Le 7 avril : Stéphane AGEZ, Matthieu LEBLANC
Le 8 avril : Constance BROZA, Jeanne LEMAITRE, Antonin PAGAN, Thomas SUAREZ, Enzo VALERO
Le 22 avril : Ninon CRETON, Noël DUNE, Marius JANNAULT
DECES
ARDRES : Le 12 avril : Mr Roger DISSAUX, 60 ans – Le 18 avril : Mr Roland MARTIN.
BALINGHEM : Le 28 avril : Mme Irène MARTIN, 75 ans
LANDRETHUN : Le 16 avril : Mr Edmond LEFEBVRE, 90 ans.
La vente de fleurs
au profit du C.C.F.D. (Comité Contre la Faim et pour le Développement). durant le Carême a permis l’envoi d’un chèque de 2098.60 euro. Argent qui permettra de lutter contre la faim, la misère et l’injustice dans le monde et ainsi construire ensemble une terre où les hommes se montreront plus solidaires les uns envers les autres.
Gaston Bryche
AU FIL DU TEMPS
Allo, vous m’entendez ?
L’agitation est grande en ce matin de mai dans la cour de la ferme. Le fils aîné a attelé le tracteur au semoir. Le portable à l’oreille, il est en communication avec son père pour mettre la dernière main au réglage de l’outil. Pourtant Claire voudrait lui dire qu’il y a un problème au poulailler, mais le moment est mal choisi… elle le lui dira donc plus tard. Le vétérinaire vient d’arriver pour soigner une vache malade, mais tarde à descendre de sa voiture, car lui aussi est en communication avec un client.
Profitant de ce contretemps, Claire entre chez elle pour dire à sa fille qu’elle n’oublie pas d’acheter le pain pour le repas de midi. Mais l’ado, le MP3 sur les oreilles, s’agite en écoutant le CD du moment qui fait fureur, et reste imperméable à la demande de sa mère.
N’y tenant plus, elle claque la porte pour se réfugier dans son jardin. Iris, tulipes et myosotis y font un décor de rêve. Les fleurs sont belles à cette époque de l’année et il paraît qu’elles, elles aiment quand on leur parle…
Christiane Liné
Carte blanche à ARDRES
L’église Notre Dame de Grâce en travaux
Notre église fait l’objet d’une sympathique attention de la part de notre municipalité, qu’elle en soit remerciée. Les Ardrésiens ont toujours aimé leur église, mais elle a beaucoup souffert. Il est intéressant de lire ce qu’écrivait Monsieur Victor Raiff, instituteur à Ardres en 1829.
« … cette grande église, bâtie par Arnoult en 1073, est l’église actuelle d’Ardres, mais mutilée, mais criblée de cicatrices nombreuses, faites par les démolisseurs de 1793. Le chœur et le dôme du centre, qui porte la tour, restent seuls debout, avec leurs nervures ogivales, courant, des culs de lampes et du haut des chapiteaux capricieusement ouvragés, à la voûte où elles se réunissent aux clefs qui représentent sculptées les armoiries des seigneurs de Guînes, d’Ardres et du roi de France. Le génie fantasque de l’artiste s’est joué dans ces moulures, dans ces couronnements de pilastres, où l’on voit pêle-mêle des aigles et des lions, des anges et des feuilles de vigne, des chimères et des branches entrelacées, des têtes d’homme impossibles avec des animaux sans nom.
Mais ce qui reste suffit pour donner une idée de ce que l’église d’Ardres a pu être autrefois. L’imagination peut encore relever ses trois nefs, sombres et majestueuses : voilà ces fenêtres ogivales, dont les trèfles de pierre tamisent une mystérieuse lumière ; voilà ces cellules et ces chapelles où les vénérables chanoines se retiraient dans l’ombre de leurs saintes méditations ; voilà encore ces grandes dalles funéraires couvertes des écussons et des noms de châtelaines et de châtelains, d’abbés et de guerriers, sépulcres immenses, comme si une génération de géants eût été couchée là.
La tour est toujours la même aussi, mais tronquée ; une façon de clocher la surmonte, lequel est couronné à son tour par une échelle de télégraphe aérien, jeune débris debout sur vieille ruine : 1835 et 1073, horloge immobile, marquant la course rapide du temps sur les générations et les ouvrages des hommes…
Telle est l’église d’Ardres ; des mains barbares ont renversé les nefs : mais le sanctuaire, le chef, reste debout. Malgré toutes les réparations, ce n’en est pas moins une ruine, mais une de ces ruines qui élèvent le cœur vers Dieu, en lui montrant ce que la foi de nos pères avait osé tenter et accomplir… »
Ainsi, notre église avait trois nefs avant la Révolution. Lors de sa reconstruction en 1888, dont nous reparlerons, il n’y eut que la grande nef actuelle de rebâtie.
Un projet de reconstruction fut ébauché mais ne fut pas totalement réalisé puisque tous les pinacles sont encore à réaliser… peut-être dans un avenir prochain les verrons-nous posés ?
Francis Ryssen
Photos: L’église en 1820 et
L’église d’avant 1905
Jumelage : L’exposition du 1er avril 2007
Depuis de nombreuses années, Ardres est jumelée avec Halingen en Allemagne et New Romney en Angleterre. Jusqu’à l’année dernière, les échanges se faisaient toujours entre Halingen et Ardres pour les jeunes et entre New Romney et Ardres lors des fêtes de chaque ville.
En 2006, à l’occasion du baptême des rues d’Halingen et de New Romney, les délégués de ces deux villes ont fait connaissance et ont manifesté le désir de continuer d’approfondir ces relations. Le Comité de jumelage d’Ardres a donc organisé une exposition de tableaux et de photos des artistes des trois villes. Les Anglais, très amateurs d’aquarelle, ont proposé des paysages très typiques du Kent, leur région. L’apport des Allemands consista principalement en photos très travaillées. Quant aux Français, habitués des expositions à la Chapelle des Carmes, ils ont présenté aquarelles, acryliques, photos et sépias. Ce fut une exposition très intéressante par sa variété et la qualité des œuvres. Ce fut aussi une petite pierre à la formation de l’Europe.
Mme Damay
Photo : une partie de l’exposition
LA VIE DE NOS COMMUNAUTES CHRETIENNES
Mouvement Chrétien des Retraités
Comme chaque mois, la réunion a accueilli les personnes retraitées de notre paroisse. D’habitude, l’abbé Bernet est présent, mais cette fois, il n’a pu venir pour raison de santé.
Autour de la table, le sujet débattu nous concerne tous : sauvegarder la création par nos modes de vie, de consommation…
La création, Dieu nous l’a transmise pour le glorifier. Nos actions journalières pour la sauvegarde de la planète, comment sensibiliser autour de nous, famille, voisins sont des questions concrètes qui permettent de montrer de quelle manière chacun d’entre nous est acteur et collaborateur de Dieu dans l’œuvre de la création, chaque être humain est appelé à transformer la terre et la gouverner, mais nous voyons bien que notre monde industrialisé se sert d’abord en gaspillant les ressources, en polluant…
Grâce à des questions simples, chaque participant peut s’exprimer, partager une expérience, donner des moyens pour être des personnes responsables et actives dans notre commune, notre vie de tous les jours.
La lecture d’un texte d’Evangile approfondit la réflexion de chacun, puis autour d’une tasse de café et des petits gâteaux, les membres de MCR échangent avant de se séparer.
A noter qu’un rassemblement diocésain aura lieu le samedi 27 octobre 2007 à Bagatelle auquel chaque retraité est invité.
Monseigneur Jaeger présidera cette rencontre et sera entouré de Monsieur Mortel, président national du MCR, Monsieur Laevens, secrétaire général du mouvement et des responsables des diocèses voisins.
Monsieur Masset, président local vous invite à les accompagner et est à votre disposition pour tout autre renseignement.
F. Cordonnier
Photo : quelques membres du MCR
Temps fort des 1ères eucharisties
Le temps fort des premières eucharisties s’est déroulé le mercredi 11 avril à Rodelinghem et à Nielles où les enfants se sont retrouvés pour la journée avec le partage du repas pour tous.
Le thème : « Venez à la table du Seigneur ». Des chants ont été appris pour la cérémonie, des diapositives sur les premiers chrétiens ont été bien suivies et les divers ateliers de la journée se sont déroulés : préparation du pain, visite et commentaire de l’église, décoration de la nappe et de l’ambon pour els cérémonies des premières eucharisties, la famille représentée par la Croix, le Merci grâce aux lépreux, la présence de Jésus parmi nous et le mot Communion.
En fin d’après-midi, le pain cuit gentiment par le boulanger a été rompu comme Jésus lors de son dernier repas.
Le soleil étant là toute la journée et avec le concours de catéchistes et de mamans, la visite de Monsieur l’abbé Bernet, font que ce jour s’est très bien passé. Les enfants en on fait un bilan positif. Merci à tous et à toutes.
Les catéchistes
Photo: le groupe des enfants à Nielles
Temps fort des Professions de Foi
Lundi 16 et Mardi 17 avril s’est déroulé le temps fort pour la Profession de Foi en deux lieux distincts : l’un dans le cadre de l’institution Notre Dame à Ardres et l’autre à la salle des loisirs de Nordausques.
Durant ces deux jours, les enfants ont réfléchi sur le thème « Sur les pas de Pierre » et sur leur engagement public du mardi soir en présence de leurs familles.
Les jeunes ont écouté attentivement Hélène, jeune lycéenne, venue témoigner de son engagement auprès des adolescents de l’Aumônerie et de son pèlerinage à Rome.
Le mardi soir, une cérémonie a réuni tous les quatre vingt quinze enfants en l’église Notre Dame de Grâce pendant laquelle ils ont renouvelé les vœux que leurs parrain et marraine avaient prononcé pour eux lors de leur baptême. Une cérémonie très recueillie que Monsieur l’abbé Bernet a présidée. La Messe d’action de grâce aura lieu le dimanche 3 juin pour les enfants de Brêmes et Ardres et le dimanche 10 juin pour ceux de Louches et Bois en Ardres.
Les catéchistes
Photos: Le groupe à Ardres pendant le temps fort et la sortie de la cérémonie du soir
L’espérance en K’Ados
Qui a pensé que l’espérance était vaine ? Ce lundi 30 avril, les ados du diocèse d’Arras nous ont prouvé le contraire !
Les jeunes réunis à l’espace Vauban de Saint Omer étaient plus de 500 pour nous prouver que l’espérance est toujours là, vivante, présente et remuante.
Venus par cars de Béthune, d’Arras, de Bruay, de Boulogne, du Touquet, de Calais, et à pieds de Saint Omer, les jeunes collégiens ont été accueillis par le chanteur Laurent Grybowski , Oscar jouant du synthétiseur et François, coordinateur animateur de la journée.
Monseigneur Jaeger nous a rejoint dès 10 heures pour nous accueillir et lancer cette journée de rassemblement pour laquelle il s’est libéré afin de nous accompagner jusque 18 heures.
Notre petit groupe d’Ardres semblait un peu perdu dans cette multitude d’adolescents de leur âge qui reprenaient en chœur, mais assez vite il s’est mis dans le bain et lui aussi a fredonné « l’espérance »
Après cet accueil festif, c’est le forum de l’espérance dans la salle où les jeunes sont amenés à réfléchir sur leur espérance de groupe et personnelle.
Pique-nique joyeux le midi dans le square de Saint Omer, puis chasse au trésor en plein air conduit par nos animateurs-pirates
Le trésor retrouvé: sous la forme des lettres du mot « ESPERANCE », commence le plaidoyer des voix qui s’élèvent pour que ce sentiment ne reste pas qu’un vain mot sans aucun sens pour tous ces adolescents qui sont notre espoir de l’Eglise de demain !
Vers 18 heures, c’est le moment de se quitter, chacun repart chez lui avec un petit cadeau fabriqué en club. A bientôt pour le prochain rassemblement avec le même enthousiasme !
Nadège Finot
en photo : les jeunes de l ’Ardrésis
La Petite Enfance fête Pâques
Le 13 avril avait lieu à Bois en Ardres le rassemblement de la « petite enfance »
Environ trente cinq enfants de un mois à sept ans accompagnés de leurs parents avaient répondu présent à l’invitation.
Tous arrivaient avec des fleurs pour décorer la salle. Après un copieux goûter, tout le monde prit place pour écouter l’histoire de la force de la vie : Tipouce et Narcisse, après bien des péripéties, se révélaient être de jolies fleurs, un jour de grand soleil. A partir du conte, les animatrices posaient des questions simples pour découvrir si chaque enfant avait compris l’histoire et ce qu’il en avait retenu.
Un temps de célébration suivit ce conte : l’Evangile du récit de la mort et de la résurrection de Jésus Christ, des chants rythmés repris en chœur par les enfants. Ce temps de prière terminé, chaque enfant a reçu en cadeau un petit pot de terre et des graines pour mieux approcher le sens « mort-vie »
Parents et enfants sont repartis ensuite, heureux du temps de partage vécu en cette fin d’après-midi.
M-C Scotté
Photo les enfants de Petite enfance
L’ENTRETIEN DU MOIS
Pourquoi tu cours, Emmanuel ?
Emmanuel, pompier volontaire, a participé au Marathon de Londres le 22 avril dernier. Nous avons voulu le rencontrer…
Emmanuel, est-ce la première fois que tu participes à un Marathon ?
Non, c’est la troisième fois. Cela fait seize ans que je cours avec l’intention de faire de longues distances et après un accident, un jour, en vacances, c’est un challenge que l’on s’est fixé avec un copain de participer au Marathon de Reims, c’était en 1999. Depuis, il y a eu le Marathon de Paris ; à Londres j’ai concouru avec un autre ardrésien, Andrew Mortimer.
Pourquoi vouloir courir une telle distance ?
C’est un défi que je me suis lancé, me prouver que j’en suis capable. Mais attention, un Marathon, c’est 42 km 195 ou 26 miles, il faut un entraînement sérieux. Donc, je m’entraîne huit à dix semaines avant, à raison de quatre sorties par semaine d’un peu plus de 1 h pour aller jusqu’à 2 h 45.
Et cette année, à Londres, comment cela s’est-il passé ?
A Londres, le Marathon c’est avant tout la fête des coureurs et du public. Ils ont une organisation formidable. D’abord, nous sommes obligés de passer par un tour operator qui prend en charge le logement, l’acheminement vers le départ car il est impossible d’y aller par ses propres moyens. C’est vrai aussi pour nos accompagnateurs.
La veille, nous sommes allés repérer le parcours en marchant pour se donner des points de repères avec nos épouses et fixer des points de ravitaillement en nourriture solide, car tous les 2 miles environ, nous avons de l’eau à volonté, mais cela ne suffit pas, on emporte sur soi du gel énergétique, des fruits secs, des bananes, du chocolat ou du sucre…
Raconte-nous un peu la course…
Au départ, nous étions plus de 57500 personnes, mais les départs sont différés : l’élite des hommes part à 9 heures, celle des femmes à 9 h 30 et la masse des concurrents démarre à 9 h 45 de Greenwich Park. La foule est présente tout le long du parcours, une foule très bruyante, qui crie, encourage, applaudit…
Le plus dur c’est de gérer sa course : après 15 minutes d’échauffement, on prend une allure de marathon, c’est à dire 5 minutes au km pendant 35 km, mais avec les miles, c’est différent et ça m’a perturbé. Vers le 35ème km, à un ravitaillement, j’ai heurté une femme qui était devant moi, j’ai fait un roulé-boulé sous les applaudissements, me suis relevé sans ma banane… alors, une charmante britannique m’en a offert une autre… et je suis reparti, mais j’avais perdu mon rythme… C’est toujours à cette distance que j’ai un coup de fatigue, d’ailleurs. En traversant Londres, il y a des quartiers plus ou moins agréables, mais en voyant Big Ben, je me suis dit : « c’est bientôt fini » et j’ai repris une bonne foulée pour le final à St James Park.
Pour l’anecdote, quelle a été ta performance ?
La chaleur m’a affaibli et aussi la mauvaise gestion des ravitaillements, j’ai fait le parcours en 4 heures 40, c’est moins bien qu’à Paris où j’ai couru 3 h 58… A Londres, sous le dossard 50557, je suis arrivé 18727ème. On a son classement dans les deux heures, car les Anglais vous mettent une puce sur le lacet de la chaussure et en passant sur un tapis, des sondes informatiques déterminent l’ordre de passage… Le premier a fini en 2 h 07, la majorité court le marathon en 5 h environ et le dernier en 17 h, mais il a fait tout le parcours en poussant une grosse boule devant lui… Quand je vous dis qu’à Londres, c’est du spectacle !
Propos recueillis par F. Cordonnier
Photo : Emmanuel au départ du Marathon de Londres
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2014: janvier, février, mars, avril, mai non communiqués, juin, novembre decembre
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