extraits du journal local REGARD EN MARCHE

REM octobre 2008

Lu dans le journal paroissial de l'Ardrésis
LA VIE DE NOS COMMUNAUTES CHRETIENNES .

OCTOBRE 2008

 

EDITO


Portez du fruit
Dans la Genèse, Dieu dit à l’homme : « Fructifiez et multipliez, et remplissez la terre… Je vous donne toute plante portant semence, qui est sur toute la surface de la terre, et tout arbre portant semence… »
A chacun aujourd’hui d’entendre ces paroles pour que notre petit bout de terre, notre village, soit un lieu de récoltes fructueuses. Comment ? A chacun d’y mettre un peu de semences d’amour, d’entente, de partage. Bien sûr, rien n’est facile. Pourtant, si notre comportement de citoyen, de chrétien est pris en exemple par ceux qui nous entourent, alors, rien n’est impossible. De ce petit bout de terre où nous ne sommes que locataire avant de rejoindre le Royaume, n’en faisons pas un endroit de « guéguerres », mais essayons d’en faire un lieu où il fait bon vivre ensemble.
Quelle que soit la terre où il nous est donné de semer la Bonne Nouvelle, soyons des ouvriers tolérants des différences de l’autre, des ouvriers aimant discuter, partager, écouter, celui qui doute, qui se rebiffe à cause de ses problèmes. L’idéal serait de devenir des ouvriers de Dieu à l’image de son Fils : la route est longue mais chaque pas sur ce bout de terre effectué vers l’autre, vers celui qui nous que cette terre n’est pas faite pour lui, nous rapproche sûrement du chemin pour le devenir.

Nadège Finot

TEMOIGNAGE
Les malades psychiques demandent d’abord de la compréhension
La dépression ? Une expérience inouïe. J’ai vécu des heures où la tête tourne, les vertiges vous mettent en insécurité, les angoisses vous taraudent l’intérieur. N’en riez pas ! Cela pourrait vous arriver, et vous seriez tristes, angoissés jusqu’à la panique, la peur de vivre.
Ceux qui ont vécu cela savent de quoi je parle. C’est une dure épreuve. Un long travail d’anéantissement s’installe en soi, inutilité d’être, c’est tout cela la maladie. Une religieuse malade me disait un jour : « J’ai l’impression d’avoir trahi ma vocation ». On ne se met pas ces idées-là dans la tête : elles viennent toutes seules, un jour.
Ce qu’il ne faut pas dire
Vous, les bien portants, ne dites pas au déprimé : « Secoue-toi ! ». Il souffre intérieurement. Ne le découragez pas par une semblable incompréhension. Ne le culpabilisez pas davantage encore. Sachez qu’il lui faut plus de courage intérieur pour vivre les longues heures du jour et de la nuit dans cet état.
Ne dites pas à son sujet : « Moins on en parle et mieux c’est. ». Vous êtes désemparés devant les malades psychiques, c’est compréhensible. Mais ne les ignorez pas. Ce sont des hypersensibles qui ont besoin d’amitié, d’écoute, de respect. Les traitements et activités qui les sortiront de là sont peu de chose sans votre présence confiante. Ne les faites pas marcher à votre rythme, mais accompagnez-les dans le leur.
Ils sont nombreux ceux qui accompagnent les malades physiques, les opérés, les handicapés. Et c’est tant mieux. Mais il faudrait aussi que les malades psychiques soient aidés et compris de la même façon. Leur maladie est d’un autre genre, mais c’est aussi une maladie.
Et vous, frères déprimés
Vous dites parfois : « Nous ne sommes pas compris ». C’est vrai. Le dernier mot n’est pas à la maladie. Même si, pour le moment, des heures atroces nous dépassent, nous avons envie de vivre. Soyons modestes dans nos projets, nous n’avons guère de choix. C’est une autre vie qu’il faut accepter, et ce n’est pas facile.
Regardons les malades psychiques autrement. Partageons nos misères pour avoir de nouvelles raisons d’espérer. Visites, coups de téléphone, lettres sont des moyens positifs de nous rendre utiles. Reconnaissons sur notre route ce monde qui nous accompagne : nos proches et le monde médical qui ont beaucoup de patience pour nous aider à redevenir des hommes et des femmes debout, même dans l’épreuve.
Je garde l’espérance parce que je crois au Dieu de tendresse comme aux personnes remplies d’humanité et d’amour.

Abbé Louis Blondiaux

 

JOIES ET PEINES

BAPTEMES
Le 10 août : Martin Brunet, Rudy Coeugniet, Maxence Dune, Shanicia Gavois, Alexandre Joan, Louanne Lannoye, Thaïs Pruvost, Oscar De Graaf, Lewcian Hibon
Le 15 août : Léo Bara, Kélia Blanpain, Timothé Fouble, Manon Goidin, Aure Landron, Ethan Marmin, Loane Renard

MARIAGES
ARDRES : le 9 août : Ludovic Sloma et Nathalie Dune – le 23 août : Nicolas Pavageau et Mélanie Brunet – le 30 août : Jacky Pareja et Julie Towmsend
BOIS EN ARDRES : le 16 août : Sébastien Charlemagne et Aurore Loyer – le 23 août : Cyrille Delforge et Virginie Vasseur
NIELLES : le 2 août : Jean Baptiste Corbeau et Elise Legrand
NORDAUSQUES : le 9 août : Bernard Joly et Laurence Thorel
RODELINGHEM : le 9 août : Maxime Lecras et Hélène Darnaux

DECES
ARDRES : Le 6 août : Mr André Lassalle, 83 ans
BOIS EN ARDRES : le 1er août : Mr Louis Val, 80 ans
BALINGHEM : Le 8 août : Mr Yvon Dalibon, 72 ans

AU FIL DU TEMPS
Le placard aux souvenirs
On a tous chez soi, un placard dans lequel on range ce dont on rechigne à se séparer et qui, pourtant, n’a plus d’utilité. Les étagères sont bondées et la recherche d’une chose devient mission impossible.
Un jour où l’on met ses sentiments en veilleuse, on fait le tri de ce qu’il faut jeter.
C’est alors que l’on plonge dans le passé, que reviennent d’un coup les moments forts vécus par la famille et que le dilemme commence.
C’est un pull tricoté maille par maille par la mamie pour une petite-fille, un drap de lit d’enfant, un chapeau acheté pour une cérémonie, un jupon de robe de mariée remisé là quand la dernière fille s’est envolée pour prendre mari. Il y a la djellaba, souvenir du service militaire dans le djebel et qu’un demi-siècle d’existence en a fait une relique familiale, le carton de lettres écrites par le papy lors d’un séjour à l’hôpital. Cachée dans un coin, une poupée échevelée a été oubliée. Moments de nostalgie… mais vite, il faut se ressaisir, revenir sur terre, se tourner résolument vers demain et engranger en son cœur le souvenir des êtres que l’on a aimé… un cœur bien plus grand qu’un placard.

Christiane Liné

 

Carte blanche à NIELLES
La vie au village
Odette qui habite Nielles depuis 62 ans, est la première à dire que l’on y est bien.
« Après notre mariage, nous sommes venus habiter Nielles : nous avions une petite ferme. Il n’y avait que quelques maisons dans la rue ou plutôt, à cette époque, une route de campagne avec de l’herbe au milieu et pas d’eau potable !
J’ai élevé sept enfants et ensuite, je partais tous les jours à vélo travailler à Ardres puis au café « le plat d’or ». Les années passaient… une, deux maisons se construisaient et un jour, un lotissement de sept terrains a été à vendre. Il n’a pas fallu attendre longtemps pour voir arriver des grues, des camions… un véritable chantier qui allait donner de très belles maisons, arborées, fleuries, des voisins : la vie naissait dans le quartier.
J’ai été Conseiller municipal durant vingt quatre ans sous trois maires : Messieurs de Rosny, Calais et Cailleret ; j’ai créé le club du 3ème âge auquel je suis encore attachée.
J’aime parler du passé, j’en garde un bon souvenir Tout le monde aimait rire, s’amuser ; à la ducasse, il y avait une ambiance familiale, on se retrouvait jusque tard dans la nuit pour danser. Le soir de Noël, après la messe de minuit, les enfants, les voisins venaient à la maison boire le chocolat chaud, manger les brioches, les mandarines, c’était la fête…
Maintenant, je suis seule, mais mes voisins, les amis viennent me rendre visite, boire un petit café, m’apporter le journal, le pain, le courrier… C’est là que je vois la solidarité de ce petit village. »

Rencontre avec le président du club des Archers
Monsieur Saison, comment vous est venue l’idée de créer ce club à Nielles ?
Mon fils faisait du tir à l’arc à Ardres, sous la salle de basket ; il y avait aussi autour, du foot, du tennis, cela faisait trop de monde, ce qui rendait ce sport dangereux. Habitant Nielles, j’ai demandé à Monsieur Hénard, le maire, si nous pouvions disposer d’un local près de la mairie et c’est ainsi que le club est né.
Est-ce réservé uniquement aux Niellois ?
Non, nous ne sommes que trois ou quatre du village sur les vingt cinq adhérents et une coach qui vient d’Ardres, en partie intégrante, afin de nous entraîner. Je relance l’invitation à venir nous rejoindre, jeunes ou moins jeunes, le mercredi soir ou le dimanche matin.
Les archers tirent à différentes distances :à 70 mètres, la circonférence de la cible est de 1 m 20, à 30 mètres, elle est de 60 centimètres et à 15 mètres, elle est de 40 centimètres, cette dernière étant la plus difficile.
Vous avez été désigné meilleur tireur. En quoi cela consiste ?
Nous appelons cela le tir du roi sur cible : il s’agit aux archers de tirer « l’oiseau » à 30 mètres et ce titre est valable un an. Je voulais vous rappeler que nous avons disputé dernièrement les championnats départementaux à Aire sur la Lys.
Monsieur Saison n’a pas qu’une corde à son arc : il fait partie d’une compagnie médiévale située à Zutkerque… Et si un jour nous pouvions assister à un spectacle dans la région ?

Propos recueillis par Béatrice Bouquet

Photo : ducasse de Nielles

LA VIE DE NOS COMMUNAUTES CHRETIENNES
Un 15 août en chansons avec Laurent Grzybowski
Nous connaissons quelques-unes de ses chansons : Marie, témoin d’une espérance, Dieu est une fête, Tu fais de nous un peuple de témoins, Mille raisons d’espérer…
Né à Paris en 1961, Laurent a découvert l’amour du chant très tôt à la chorale de l’église saint Ignace. En 1975, il se lance dans l’animation. Membre du Mouvement eucharistique des jeunes, il enregistre ses premières chansons en 1986 et commence ses tournées en 1988.
Son répertoire est à la fois liturgique et profane : ses chansons s’inspirent de ses voyages et de ses rencontres, car Laurent est journaliste au journal La Vie. Son souhait profond est de contribuer à transformer le monde : « comme les médias, la musique est un formidable moyen de communication… c’est un langage universel qui permet de franchir les frontières. A l’heure où certains ne parlent que de murs et de barbelés, je voudrais dans mon métier de journaliste comme dans mon activité de chanteur, ouvrir des voies et bâtir des ponts ».
Cet engagement est un moyen de résistance qui le conduit dans des lieux hautement symboliques : Wroclaw en pleine guerre froide, basilique Saint Pierre de Rome, bidonvilles de Sao Paulo, chapelle du camp d’Auchwitz… Il est très marqué par le reportage effectué au Rwanda pendant le génocide de 1994. Laurent n’a jamais renoncé à chanter sa foi en l’homme et en Dieu. Militant interreligieux, il est l’un des rares à interpréter ses propres chansons dans les mosquées ou les synagogues.
Proche des jeunes, il anime de grands rassemblements : les JMJ, le Frat des lycéens et des pèlerinages à Lourdes. Il ne cherche pas à convertir ceux et celles qu’il rencontre, mais à éveiller quelque chose en eux.
Au cours de la messe et de la veillée du 15 août, accompagné d’Oscar au piano, Laurent Grzybowski a chanté avec passion et conviction, nous entraînant avec lui. Le fait de chanter ensemble représente, pour lui, une expérience spirituelle. Il croit en l’homme et déborde d’enthousiasme, sans être naïf. « Mon travail d’information m’oblige à regarder la réalité en face. Pourtant comme chrétien, j’ai envie de regarder « au-delà » et de faire mienne cette parole de Ghandi : Un arbre qui s’abat fait beaucoup de bruit, toute une forêt qui germe, on ne l’entend pas. »
Alors, sommes-nous des vivants dans cette forêt qui germe ? La question nous est posée : à chacun d’y répondre pour revivifier nos pratiques religieuses et « Vivre debout » !

Françoise Cordonnier

 

St Vincent de Paul et la Neuvaine
En 1638, le roi de France Louis XIII, qui bien souvent demande conseil à Vincent de Paul, consacre la France à la sainte Vierge. Désormais, chaque 15 août, jour de l’Assomption, partout en France a lieu une procession en l’honneur de la Vierge Marie.
En 1833, lorsque Frédéric Ozanam fonde avec des amis la première conférence, il la place sous le patronage de saint Vincent de Paul et de Marie Immaculée.
Le 20 août 2008, les membres de la conférence d’Ardres ont animé une messe en l’honneur de Notre Dame de Grâce durant laquelle l’abbé Bernet fera le lien avec l’Evangile selon saint Matthieu, le jugement dernier, et la phrase prononcée par Marie lors des noces de Cana : « Faites tout ce qu’il vous dira. » Et Jésus nous dit d’être attentifs aux plus fragiles, de leur venir en aide. Marie, qui a connu tant de situations difficiles sans baisser les bras, peut nous y aider.
Terminons par un extrait d’une prière « A Marie » écrite par Monseigneur Jean Claude Boulanger : « A travers toi, Marie, je reconnais les petits, les pauvres, ceux qui ne font pas le malin… Même s’ils ont de l’argent ou du succès, ceux-là, Dieu les élève et leur donne force et courage. Mais tu n’as pas fait beaucoup de bruit dans ta vie, mais aujourd’hui, je voudrais parler de toi à tous ceux qui perdent confiance. Que le monde découvre ta joie de vivre… »

Catherine Loots

 

 

 

 

 

La procession du 24 août

 

 

Le temps menaçait en ce dimanche d’août, il n’était pas de très bon ton de se promener par cet après-midi. Pourtant de toute notre paroisse nouvelle, des dizaines de pèlerins convergeaient vers l’église Saint-Omer et Notre Dame de Grâce d’Ardres.
Depuis quelques années, les pèlerins se faisaient moins nombreux pour accompagner Notre-Dame dans les rues d’Ardres. Cette année, la courbe s’est inversée, et, de nombreux jeunes se sont retrouvés ainsi que les fidèles habitués à la procession de la protectrice maternelle de notre cité. La procession était présidée par Monseigneur Jean-Claude Boulanger évêque de Sées dans l’Orne, mais natif de notre canton. Beaucoup de personnes dans notre paroisse ont eu des contacts avec lui dans le passé.
Dans son homélie, Monseigneur Boulanger nous a éclairés sur les mystères des apparitions de Notre-Dame à Bernadette à Lourdes. Cet aspect des apparitions ainsi dévoilé nous a donné une leçon et nous a fait comprendre un peu mieux le mystère divin. Un pot de l’amitié nous était servi à l’issue de la messe.

Philippe Labre

 

 

 

 


A la rencontre de Benoît XVI
Partis très tôt samedi 13 septembre, la plupart n’ont pas dormi… Des pèlerins montent à Calais, Saint Omer, puis à Arras et voilà le bus sur l’autoroute pour Paris.
Six heures, il ne fait pas jour, nous prenons le métro pour nous rendre sur l’esplanade des Invalides. Le service d’ordre des bénévoles est efficace, nous sommes dirigés, accompagnés… Déjà des centaines de jeunes sont sur place, couchés à même le sol, profondément endormis. Debout ou assis, nous nous plaçons près des écrans géants et de l’allée où le Pape doit passer en papamobile. La foule est composée de familles, de religieux et de personnes de tous âges, l’ambiance est chaleureuse.
Dès huit heures, les Bénédictines chantent les laudes, beaucoup de fidèles reprennent les refrains. Les prêtres se placent de part et d’autre de l’autel. Chacun attend.
Soudain, nous apercevons la papamobile. Une clameur s’élève : tout le monde se presse derrière les barrières, les jeunes scandent : « Benedetto » ou « Benoît XVI » en tapant dans les mains. L’émotion est intense, les yeux embués, nous agitons nos fanions jaunes, nous crions… les enfants sur les épaules de leurs parents essaient d’apercevoir le visage du Pape, un instant trop court.
La Messe se déroule sous un soleil radieux, dans un recueillement impressionnant. Dans cette nef à ciel ouvert, les chrétiens participent à l’eucharistie présidée par Benoît XVI et concélébrée par plus de mille prêtres. L’assemblée reprend en chœur les hymnes. L’homélie est écoutée avec la plus grande attention, dans un silence remarquable… Benoît XVI nous invite à nous demander ce qui est le plus important dans notre vie : un vibrant appel aux vocations des jeunes et des moins jeunes.
La Messe se termine, le cortège part. Nous échangeons nos impressions, heureux d’avoir participé à cette importante manifestation chrétienne : « nous y étions… »

Françoise Cordonnier

Photo: une partie du groupe devant les Invalides

 

 

SOLIDARITE
Madagascar à ma porte
Vous vous souvenez sûrement de l’article paru en janvier 2008 recherchant des mains habiles pour confectionner des petits tricots ? Dans un quartier de Bois en Ardres, cet appel a été entendu…
« Je vis seule, j’ai du temps, je peux confectionner un peu de layette, a pensé cette grand-mère. Ma fille m’a apporté de belles pelotes de laine, offertes par la conférence saint Vincent de Paul. Pendant des heures, au rythme des aiguilles de la pendule, j’ai tricoté brassières, petits chaussons. Cela m’a rappelé le temps où je le faisais pour mes enfants et mes petits-enfants… Cela occupe et les bébés malgaches profiteront de cette layette… »
Bravo madame Willaume… une belle initiative qui apporte du bonheur de part et d’autre !

Françoise Cordonnier

 

ECHOS DE L’ARDRESIS
8000 clubs pour bouger
Nouveauté à Nielles : le club Gym Senior assurera à partir du 8 septembre des cours d’éducation physique-gymnastique volontaire avec une monitrice diplômée Gym douce… Ambiance conviviale garantie !
Rendez-vous le lundi de 14 h 30 à 16 h à la salle municipale de Nielles.

Béatrice Bouquet

 

 

TRIBUNE LIBRE

Punch d’amour
Prenez-vous tel que vous êtes
Enlevez la pelure d’égoïsme,
Arrachez les pensées blessantes,
Enlevez tout ressentiment et tracas.
A cela, ajoutez : la conviction profonde
Que la vie vaut la peine d’être vécue !
Que vous êtes quelqu’un !
Mélangez bien, avec sérénité et amour,
Assaisonnez d’humour et d’optimisme,
Sucrez avec tolérance.
Puis, ajoutez une ferme résolution :
Celle de faire de votre mieux
A chaque heure du jour, quoi qu’il arrive.
Laissez mousser trois cent soixante cinq jours.
Garnissez de sourires et de mots aimables,
Servez avec douceur et courage,
Vous verrez l’effet !

 

Voir d'anciens extraits:

2006 : Fevrier , mars , avril, mai, juin, juillet aout, sept/oct(non communiqué), novembre, décembre

2007 : janvier, fevrier, mars , avril, mai , juin, juillet aout, septembre , octobre, novembre , decembre

2008 :janvier, fevrier, mars, avril, mai , juin, juillet aout, HS Sept, septembre , octobre , novembre , decembre , HS déc,

2009 : janvier , fevrier , mars , avril , HS avril , Mai , Juin , HS Juin , Juillet Aout, HS Sep, Septembre, Octobre, Novembre, Decembre,

2010 : janvier , fevrier , mars , avril , Mai , Juin , Juillet Aout, Hors série de Septembre, Septembre, Octobre, Novembre, Décembre,

2011 : janvier, février mars avril mai hors serie juin juin septembre octobre novembre decembre

2012: janvier, février mars avril mai juin juillet-aout septembre octobre novembre decembre

2013 : janvier, février, mars non communiqué, avril, mai, juin , juillet , aout, septembre, octobre, novembre,decembre non communiqués

2014: janvier, février, mars, avril, mai non communiqués, juin, novembre decembre

2015: janvier, février, mars Paray-le-Monial decembre

2016: février, mars, mai, novembre,

2017: janvier , février , mars, avril, mai, juin, juillet, aout, septembre, octobre, novembre, décembre.

2018: janvier , février, mars, avril, mai, juin, juillet, aout, septembre, octobre, novembre, décembre.

2020: janvier , février , mars, avril, mai, juin, juillet, aout, septembre, octobre, novembre, décembre.

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