extraits du journal local REGARD EN MARCHE
Lu dans le journal paroissial de l'Ardrésis
LA VIE DE NOS COMMUNAUTES CHRETIENNES .
NOVEMBRE 2008
EDITO
Invitation
Et si je vous invitais à la fête ? Idée saugrenue, n’est-ce pas ! , En ce mois de novembre, alors que les beaux jours sont partis, avec cet automne souvent pluvieux, et les jours qui raccourcissent inévitablement.
Je vous invite à la fête tout d’abord dans ce journal avec le compte-rendu de parole en fête du dimanche 21 septembre, puis une invitation pour le premier novembre, à la messe, pour venir fêter les saints patrons dont nous portons le prénom.
Invitation à honorer nos morts dans les cimetières dont on aura auparavant nettoyé les tombes, occasions particulières et moments propices à la rencontre de personnes perdues de vue, venues un instant se recueillir sur une stèle.
Invitation aussi à la célébration du 90 eme anniversaire de l’Armistice du 11 novembre, qui mettait fin à quatre années d’une guerre particulièrement meurtrière, qui devait être la « der des der » et qui malheureusement ne fut pas le cas.
Et enfin invitation à se mettre en chemin pour accueillir l’Avent (du latin adventus : venue, arrivée), cette période qui couvre les quatre semaines avant Noël. L’avent commence le quatrième dimanche avant Noël et marque le début de l’année liturgique. Ce court passage nous prépare à la venue du Christ, à sa naissance.
Philippe Labre
Le 14 septembre : Inès et Clémence Vanhaecke, Louise Debove, Maïlys Giroud, Zoé Houton, Jeanne Scotté, Jeanne Delforge
Le 27 septembre : Thaïs Choquet, Lucas Jacob
Le 28 septembre : Axel Barbier, Capucine Beaugrand, Victor Boulogne, Théo Devienne, Paul Devos, Emile Lepère
MARIAGES
ARDRES
6 septembre : Franck Timmerman et Isabelle Brunelle – Stéphane Brebion et Laetitia Louguet
13 septembre : Jessy Fumey et Odile Raffin-Peyloz
20 septembre : Jean Luc Bacquet et Peggy Lecoustre
27 septembre : Thomas Jacob et Maggy Parisseaux
BOIS EN ARDRES
13 septembre : Matthieu Boufflers et Jennifer Merlant
ARDRES :
4 septembre : Mme Marie Louise Amrhein, 92 ans
le 19 septembre : Mme Monique Hénon, 65 ans
le 24 septembre : Mr Alfred Hanquez, 59 ans.
BOIS EN ARDRES :
le 22 septembre : Mr Jean Parisseaux, 70 ans
NIELLES :
2 septembre : Mme Marie Lefebvre, 73 ans
RODELINGHEM :
15 septembre : Mr Raymond Dutertre, 83 ans – le 25 septembre : Mme Simon Demaret, 76 ans.
TEMOIGNAGE
Devoir de mémoire
Comme beaucoup d’entre nous, Monsieur Riquier a eu des proches qui ont participé aux guerres : son grand-père en 14-18, son père en 39-45, lui-même est allé en Algérie et son fils en Nouvelle Calédonie lors des évènements qui ont soulevé ce pays…
Ancien gendarme, il est président de la section des Anciens Combattants d’Ardres et Bois en Ardres. Laissons-lui la parole.
« C’est une association placée sous la responsabilité du Président départemental, mais je suis responsable des actions locales. Actuellement, il y a 127 adhérents anciens combattants, la majorité d’entre eux sont des soldats qui ont participé aux guerres d’Algérie Tunisie et Maroc ou des veuves.
Le rôle de l’association est d’aider : aide à l’enfance pour les études des enfants de père décédé en combattant, aide aux malades qui disposent de peu de revenus, aide aux veuves sans ressources, la défense des droits, et informer sur les manifestations telles que le pèlerinage à Lorette qui a lieu chaque année le 16 octobre.
La tradition du 11 novembre est toujours perpétuée. C’est un devoir de mémoire, il faut dire ce qu’a été la guerre et motiver les jeunes et les moins jeunes à participer aux manifestations qui ont lieu devant le Monument aux morts sur lequel 70 victimes ardrésiennes sont inscrites pour la Grande Guerre.
Le devoir de mémoire c’est aussi la rencontre avec les jeunes générations, ainsi nous avons déjà conduit des enfants de CM2 au Musée de la guerre de Calais et nous avons été dans des classes.
Non seulement, il y a la célébration du 11 novembre, mais nous avons d’autres manifestations dans l’année : le 8 mai pour commémorer l’armistice de 1945, le 14 juillet, et le 5 décembre pour les victimes des guerres d’Afrique du Nord.
A chaque fois, nous invitons les enfants des écoles, les enseignants et les parents, mais il est dommage de voir aussi peu de monde devant le Monument aux Morts. Nous sommes pourtant tous redevables de notre liberté actuelle à ces victimes.
Il y a quelques années, un monument a été inauguré au cimetière d’Ardres pour réunir les restes des Anciens Combattants et perpétuer leur souvenir. »
Propos recueillis par F. Cordonnier
CLIN D’OEIL
Sur bien des monuments aux morts, un poilu seul ou entouré évoque le souvenir des soldats morts pour la France. Ici, à Saint Sauves dans le Puy de Dôme, c’est une femme éplorée qui pose une couronne de lauriers sur une stèle… n’est-ce pas évocateur de la douleur de celles qui ont tant souffert ?
Au fil du temps
De l’ombre à la lumière
Il y avait longtemps qu’il n’avait pas été ouvert ce vieil album aux photos jaunies où posent avec fierté de solides gaillards revêtus d’une capote de couleur bleu horizon. Trois générations nous séparent de ceux que l’on appelait les poilus. Dans cette guerre qu’elle croyait être la dernière, chaque famille de chez nous a eu un père, un oncle, un grand-père, certains peuvent encore parler d’un frère engagé dans ce conflit.
Là, c’est François, mort en 1915 à Les Eparges, étouffé par la boue des tranchées.
Lui, ce tout jeune homme, c’est Henri, un rescapé de Verdun. Un jour où l’artillerie mitraillait plus que de coutume, tous ses copains sont morts devant et derrière lui. Chaque fois qu’il faisait le récit de ces heures sanglantes, des larmes coulaient sur son visage.
Cet autre encore, c’est Georges, père de six enfants. Pendant qu’il gardait un pont stratégique sur lequel passait une ligne de chemin de fer, sa femme, Marie, menait seule la ferme et s’occupait de sa famille.
Quatre vingt dix ans se sont écoulés depuis l’armistice de novembre 1918. Le dernier poilu vient de mourir. Il ne reste plus que les stèles érigées sur les places de chaque ville et village, des plaques commémoratives au fond des églises où sont inscrits les noms de ces hommes fauchés en pleine jeunesse pour nous parler de ces héros de l’ombre. A nous de ne pas les laisser dans l’oubli et de rappeler à nos enfants que c’est à des milliers de François, Henri et Georges, que nous devons d’être libres. Cela valait bien quelques lignes dans notre journal !!!
Christiane Liné
Photo : Le monument aux morts d’Ardres
Carte blanche à NORDAUSQUES
Passion Cox
Les filles aiment aussi les voitures. Elles sont allées rendre visite à David pour lui poser quelques questions (tu commences ?... non toi…, allez, je me jette à l’eau…)
David, tu habites Nordausques depuis combien de temps ?
Depuis quinze ans.
On te voit dans une voiture pas comme tout le monde, qu’est-ce que c’est ?
Une Coccinelle, et elle a un nom, Choupette, à cause du film des productions Disney. C’est Clémentine, notre fille qui lui a donné ce nom.
Tu es le seul à en avoir une ici ?
Oui, mais j’aimerais que ma passion pour les « Cox » attire d’autres personnes à en avoir au village.
Depuis quand t’intéresses-tu au Cox ?
Cela fait vingt ans que j’en rêvais. Avant de pouvoir posséder Choupette, je les collectionnais en miniatures, j’en ai environ quatre vingt.
Où as-tu acheté ta voiture ?
En Allemagne après l’avoir trouvée sur Internet pour Noël 2007 ; elle a appartenu à une grande pianiste française.
Ce cadeau a également fait plaisir à Astrid et Clémentine ?
Oui, je pense. D’ailleurs, depuis que cette voiture est arrivée, Clémentine préfère se promener dans celle-ci et je lui ai transmis ma passion. Quand elle sera grande, elle veut avoir une Cox cabriolet ou une combi-split, un très vieux modèle de cette marque.
Y a-t-il des réunions d’amateurs ?
Oui, cela s’appelle une concentration. Nous nous réunissons tous les deux ans dans des lieux différents. Cette année, c’était à Audruicq. C’est le club où je suis inscrit le « Cox Opale Club » qui a reçu les équipages. 250 voitures conduites par des français, des belges, des anglais, des allemands… la passion coccinelle a sûrement fait le tour du monde.
Dans ce club, tu as des copains ?
Nous sommes une cinquantaine d’adhérents et on s’entend bien.
Quelle est la vitesse maximum de ta voiture ?
120 km/h , mais comme c’est un vieux modèle, elle date du 26 octobre 1967, je ne la pousse pas à plus de 80 km/h
Est-ce qu’elle pollue ?
Peu
Où est le moteur, combien as-tu de vitesses ?
A l’arrière. C’est un moteur avec deux sorties d’échappement et une puissance de 4 cv. Elle a une boîte de quatre vitesses.
Pourquoi as-tu acheté ce modèle ?
Pour notre plaisir et ensuite pour faire des concours avec les copains.
Merci, David de nous avoir reçues…
De rien… au fait, les filles, vous voulez faire un tour en Cox ?
Oh oui…..
Et Choupette les ramène à leur domicile. Elles ont même demandé à David de venir les chercher une fois au collège… (c’est Choupette qui nous l’a raconté !)
Reportage de Alice, Juliette et Julina
L’eau vive du baptême
L’eau vive du baptême a coulé sur le front de sept enfants en ce 15 août. Les parents, parrains et marraines de Léo, Kélia, Aure, Ethan, Timothé, Manon et Loanne ont demandé qu’ils entrent dans la grande famille des chrétiens en les plaçant sous la protection de Marie.
ECHOS DE L’ARDRESIS
Un chemin de croix en bandes dessinées.
Comme chaque année en septembre, l’ACHA a programmé exposition et visites dans le cadre des journées du patrimoine.
C’est le style néogothique et les églises du XX° siècle que nous sommes invités à voir et étudier. Dans l’ardrésis, c’est l’audomarois Libersalle qui a construit les édifices de Bois en Ardres et Landrethun. Gieseler est l’auteur de la nef et des chapelles de l’église d’Ardres et de la totale reconstruction de celle de Brêmes.
Ce style néogothique se retrouve dans les vitraux, les travaux de menuiserie et de sculpture.
Après la visite commentée de l’église d’Ardres, un car nous emmène à Bois en Ardres, puis, pour évoquer les églises construites au XX°, nous entrons dans celle d’Offekerque qui révèle des fresques des années 1930, ainsi qu’un chemin de croix inhabituel en bandes dessinées.
Pour terminer, Pont d’Ardres nous accueille : l’église sainte Thérèse nous montre une construction très simple, typique de cette époque.
L’exposition à la chapelle des Carmes détaille le style néogothique dans notre région par le biais de plans anciens et de photos.
Françoise Cordonnier
Photo : intérieur de l’église de Bois en Ardres
Photo : le chœur d’Offekerque
Photo : une des stations de croix
Parole en fête
Que se passe-t-il ce dimanche 21 septembre à Ardres ? Des centaines de personnes, trois cents selon la police, sept cents selon les organisateurs, (faites une moyenne et vous serez dans le vrai), se dirigent vers le collège Notre-Dame aux environs de 10 heures. Est-ce une manifestation contre quelques griefs sur le mal vivre ou une toute autre raison ? Non, parents, enfants et grands-parents se retrouvent pour assister à la manifestation de « Parole en fête » quatrième du nom.
Après un accueil avec un sourire, une tasse de café ou un jus de fruits et un rayon de soleil, les personnes s’installent sur les nombreuses chaises rangées par des bénévoles avant l’arrivée des fidèles. Un petit mot lu par l’animateur de l’EAP, rappelle les finalités de ce rassemblement : comparer et discuter ce qui nous interpelle dans l’Evangile du jour, les ouvriers de la première heure selon Saint-Mathieu, et répondre aux questions posées par l’équipe de préparation.
Un petit jeu
Un petit jeu nous propose de répondre avec une pointe d’humour sur ce qui est juste ou non, et c’est la lecture de l’Evangile à quatre voix.
Cette fois-ci, les enfants de CE1 restent en carrefour avec les adultes qui se sont sûrement enrichis avec les réponses que les enfants leur ont données. Ils n’ont pas la même vision que nous sur cet évangile. Après ces échanges, l’abbé Bernet nous indique les passages importants de la lecture en nous signalant que les ouvriers de la première heure, comme ceux de la dernière heure, nous représentent et qu’il y a encore du travail à accomplir.
L’eucharistie termine ce rassemblement qui, cette fois-ci, a vu une affluence record. La prochaine ‘parole en fête » est prévue le dimanche 15 mars 2009. Nous vous le rappellerons en temps utile, mais inscrivez le déjà sur votre agenda.
Avant de partir, un pot d’amitié réunit tous les participants.
Philippe Labre
voir toutes les diapos de parole en fête 2008
« La charité est toujours jeune, il n’y a pas d’âge pour la vivre » !
Samedi 27 septembre, 18 h 30, église Saint Joseph de Bois en Ardres, plus une chaise de libre !
L’abbé Bernet et les membres de la conférence Saint Vincent de Paul d’Ardres reçoivent Jean-Luc Christian, auteur compositeur interprète chrétien, venu gracieusement animer la messe en l’honneur de Saint Vincent de Paul.
Beaucoup de recueillement, d’émotion à l’écoute des chants qu’il interprète d’une belle voix accompagnée des accords légers de sa guitare.
De « quand la justice se réveille » à « l’ami des pauvres gens », tout est dit de l’action vincentienne. Quant à Marie Immaculée, protectrice choisie par Frédéric Ozanam fondateur de la première conférence, elle ne sera pas oubliée par ce chanteur qui lui voue une grande dévotion. Espérer, chanter avec elle, ces chants consoleront, interpelleront, enchanteront l’assemblée silencieuse et séduite. Havre de paix et de douceur offert à tous en réponse à une actualité trop souvent déshumanisée…
Lors de la procession des oblats, les mots concrétisant le quotidien de notre mouvement : «
Engagement, Règle, Accueil, Réunions, Spiritualité, Accompagnement, Vestiaire, Ateliers, Discrétion, Vente », portés par les membres du réseau Ozanam, rejoignent notre devise « AIMER PARTAGER SERVIR » sur le devant de l’autel.
Si aujourd’hui, 29 années après la création de notre conférence, nous réussissons encore à accompagner les familles qui font la démarche de nous demander du soutien, c’est grâce à la confiance et à la générosité que vous nous manifestez lors des quêtes.
Merci de vivre avec nous, au mieux, l’Evangile de Jésus dans notre vie de tous les jours.
Les membres de la conférence Saint Vincent de Paul d’Ardres.
RIONS UN PEU
Evolution d’un problème mathématique.
La réforme de l’enseignement ne fait certes pas l’unanimité. Un groupe d’enseignants nous a fait parvenir cette amusante comparaison entre les différentes manières de présenter un simple problème de mathématique en trente ans d’évolution.
Enseignement 1960 : Un paysan vend un sac de pommes de terre pour cent francs. Ses frais de production s’élèvent aux 4/5 du prix de vente. Quel est son bénéfice ?
Enseignement traditionnel en 1970 : Un paysan vend un sac de pommes de terre pour cent francs. Ses frais de production s’élèvent aux 4/5 du prix de vente, c'est-à-dire 80francs. Quel est son bénéfice ?
Enseignement moderne en 1970 : Un paysan échange un ensemble P de pommes de terre contre un ensemble M de pièces de monnaie. Le cardinal de l’ensemble M est égal à 100 et chaque élément mEM vaut 1 franc. Dessine 100 gros points représentant les éléments de l’ensemble M. l’ensemble F des frais de production comprend 20 gros points de moins que l’ensemble M. représente l’ensemble F comme sous-ensemble de M et donne la réponse à la question suivante : Quel est le cardinal de l’ensemble B des bénéfices ? (A dessiner en rouge).
Enseignement rénové en 1980 : Un agriculteur vend un sac de pommes de terre pour cent francs. Les frais de production s’élèvent à 80 francs et le bénéfice est de 20 francs. Devoir : Souligne les mots « pommes de terre » et discutes-en avec ton voisin.
Enseignement réformé 1990 : Un péizan kapitalist privilégié sanrichi injustement de 20 francs sur un sac de patat. Analiz le teskt et recherch les fôtes de grammère d’ortograf de pontuassion et ansuite di se que tu panse de séte maniaire de sanrichir.
Un lecteur
En français dans le texte
Jai lu récemment, sous la plume d’un journaliste local, une réaction sur l’école primaire qui vaut son pesant d’or… Je voulais vous la faire partager.
« Comme tous les parents d’enfants inscrits à l’école élémentaire, vous avez reçu le « guide pratique des parents ». Un petit livre d’une centaine de pages destiné à répondre aux questions que l’on se pose sur la scolarité. Personnellement, je me suis arrêté à l’énoncé du programme du CP.
Au chapitre « langage oral », je lis que les élèves vont travailler « à l’expression des relations de causalité et des circonstances temporelles et spatiales » Ouh là !
j’ai définitivement refermé le bouquin quand j’ai lu, horreur, malheur ! qu’en CE2, l’enfant apprend « l’orthographe relative aux correspondances grapho-phoniques, y compris la valeur des lettres en fonction des voyelles placées à proximité… »
Bon, sinon, çà va l’école ? »
Béatrice Bouquet
Voir d'anciens extraits:
2006 : Fevrier , mars , avril, mai, juin, juillet aout, sept/oct(non communiqué), novembre, décembre
2007 : janvier, fevrier, mars , avril, mai , juin, juillet aout, septembre , octobre, novembre , decembre
2008 :janvier, fevrier, mars, avril, mai , juin, juillet aout, HS Sept, septembre , octobre , novembre , decembre , HS déc,
2009 : janvier , fevrier , mars , avril , HS avril , Mai , Juin , HS Juin , Juillet Aout, HS Sep, Septembre, Octobre, Novembre, Decembre,
2010 : janvier , fevrier , mars , avril , Mai , Juin , Juillet Aout, Hors série de Septembre, Septembre, Octobre, Novembre, Décembre,
2011 : janvier, février mars avril mai hors serie juin juin septembre octobre novembre decembre
2012: janvier, février mars avril mai juin juillet-aout septembre octobre novembre decembre
2013 : janvier, février, mars non communiqué, avril, mai, juin , juillet , aout, septembre, octobre, novembre,decembre non communiqués
2014: janvier, février, mars, avril, mai non communiqués, juin, novembre decembre
2015: janvier, février, mars Paray-le-Monial decembre
2016: février, mars, mai, novembre,
2017: janvier , février , mars, avril, mai, juin, juillet, aout, septembre, octobre, novembre, décembre.
2018: janvier , février, mars, avril, mai, juin, juillet, aout, septembre, octobre, novembre, décembre.
2020: janvier , février , mars, avril, mai, juin, juillet, aout, septembre, octobre, novembre, décembre.
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