Lu dans le journal paroissial de l'Ardrésis
LA VIE DE NOS COMMUNAUTES CHRETIENNES

Octobre 2009

EDITO

Garder la forme
S’il est un mot que chacun redoute, c’est bien celui de vieillir !
Dans un monde où tout doit aller vite, où l’apparence physique est célébrée comme un culte, vieillir s’apparente à la déchéance, aux rides, pour preuve les publicités où des personnages idéalisés, standardisés vantent des produits sensés apporter le bonheur.
Pourtant la fin des activités professionnelles ne signifie pas la fin de tout. Beaucoup de seniors prennent part à la vie sociale de leur commune, aident dans associations caritatives, sportives ou culturelles. Certains réalisent même des rêves enfouis au fond d’eux-mêmes par manque de temps ou contraints par les nécessités familiales. Ils reprennent des études, poussent la porte des clubs les plus divers pour assouvir enfin leur passion : généalogie, sculpture, peinture, scrabble, chorale…
Car bien vieillir, c’est rester à l’écoute, s’intéresser à ce qui existe autour de soi, c’est aussi échanger, voyager, s’ouvrir des horizons qui maintiennent l’attention et font travailler les petites cellules grises du cerveau. Continuer à apprendre et partager avec d’autres les dons que chacun possède.
Bref, garder la forme, et ce ne sont pas quelques rides qui doivent stopper les élans du cœur : l’essentiel est invisible, l’apparence n’est qu’illusion.

Françoise Cordonnier

Cadeau de fête à un enfant
Cette histoire est celle de bien des parents qui travaillent tous deux et rentrent le soir fatigués de leur journée et qui voient une autre soirée de travail : repas, commissions, lessive…
A travailler ainsi tous les deux, cela permet de posséder une maison pour la famille, plusieurs télévisions : dans le salon, leur chambre et celle de leur fils… Ils ont un ordinateur et leur fils en a un aussi, une piscine, deux voitures… Des parents de classe moyenne qui travaillent fort pour obtenir un niveau de vie agréable… Leur fils aura 14 ans dans quelques jours.
Un soir, en rentrant du travail, les parents disent à leur fils : « Fiston, cela fait deux semaines que l’on cherche, on ne sait pas quoi t’acheter pour ta fête, tu es gâté, pourri, tu as tout ce qu’un garçon de ton âge peut espérer… Fais-nous une liste de ce que tu veux et on achètera quelque chose à partir de cette liste. »
Le garçon revient deux heures plus tard avec une feuille sur laquelle il a écrit ses souhaits. Ses parents la prennent sans la regarder tout de suite et lui disent : « Il était temps, cela n’a pas de bon sens, tu en veux des choses… Deux heures pour faire une liste de cadeaux ! »
Sur ce, le garçon retourne dans sa chambre jouer sur son ordinateur et écouter la télévision.
Plus tard dans la soirée, les parents lisent les demandes de leur fils :
Papa, Maman, pour ma fête je voudrais avoir… (et ils remarquent que le mot avoir est rayé et remplacé par le mot être) :
« Papa, Maman, pour ma fête, je voudrais être :
1. Félix, notre petit chat, car moi aussi j’aimerais me faire prendre dans vos bras tous les soirs quand vous rentrez à la maison.
2. J’aimerais être un journal, car moi aussi j’aimerais que tous les matins, lorsque vous vous levez, vous preniez de mes nouvelles avant de partir.
3. J’aimerais être un Ipod, pour que vous écoutiez dans le creux de l’oreille à quel point je suis triste parfois.
4. J’aimerais être une télévision pour que jamais vous n’alliez vous coucher le soir sans m’avoir regardé avec intérêt dans le blanc des yeux.
5. Maman, pour toi, j’aimerais être un roman pour que tu puisses lire dans mes émotions.
6. Papa, pour toi, j’aimerais être une équipe de hockey pour que tu sois fier de chacune de mes victoires et de chacun de mes accomplissements.
Finalement, Maman et Papa, à bien y penser, je ne veux rien pour ma fête. S’il vous plaît, ne me faites pas de cadeau, je ne veux rien de vous.
Mais s’il vous plaît pour ma fête, une fois, juste une fois, permettez-moi de ressentir une seule fois que je suis un cadeau inestimable pour vous deux. »

AU FIL DU TEMPS
Il était une fois dans le nord-ouest
Alfred est collectionneur d’objets anciens, de machines et d’outils d’un autre siècle. Il les déniche dans les brocantes, dans les greniers, hangars, oubliés là, recouverts de poussière et de toiles d’araignées ou ils lui sont simplement offerts par des amis, sachant que dans ses mains, ils retrouveront une nouvelle vie. Le dernier né de la collection est un char en bois monté sur quatre roues cerclées de fer. Il servait autrefois pour rentrer le foin et les gerbes de blé.
En ce dernier dimanche de juillet, après un pique-nique partagé dans la bonne humeur, Alfred propose une balade en char à travers champs et collines. Il a gardé le meilleur pour la fin et ne doute pas que chacun allait retrouver son âme d’enfant.
Il fait encore chaud. Le crépuscule enveloppe peu à peu la terre. Les blés sont à maturité, prêts à être moissonnés, le maïs est encore en pleine végétation. Au loin, sur les monts, des vaches broutent paisiblement. Seul, le teuf-teuf du vieux tracteur et les rires des passagers viennent troubler cette paix du soir. Des perdrix et faisans s’envolent en piaillant pour un endroit plus tranquille. Il ne manque que le galop des chevaux et le fouet du cocher pour imaginer les voyages d’antan en diligence ou encore profiter de l’instant présent pour rendre grâce au Dieu créateur d’avoir fait la terre si belle. Mais tout a une fin : sitôt la rivière franchie, chacun va retrouver le monde des grands et reprendre à bras le corps le cours de la vie.
Il paraît que l’on a tous besoin de rêves. Merci Alfred pour ces heures magiques.

Christiane Liné

JOIES ET PEINES

BAPTEMES
Le 9 août : Nina Piquet, Laïla Devauchelle, Tobias Bouin, Lilou Dufour, Thomas Crendal, Julyan Bocquet
Le 23 août : Thibaut Devulder, Tom Nicholas, Téo Germe, Mathis Leroy, Mathéo Mayeur

MARIAGES
ARDRES : Le 8 août : Mathieu Wacquet et Amélie Robidet
Le 22 août : Nicolas Bouquillon et Claire Chrétien - François Hamy et Claire Chalzaviel
BOIS EN ARDRES : le 15 août : Rémi Vandenbriele et Marie Dacquin
NORDAUSQUES : le 8 août : Guillaume Méquignon et Dorothée Thorez

DECES
BOIS EN ARDRES : le 10 août : Mme Eliane Thorez, 81 ans
BREMES : le 27 août : Mr André Rommel, 86 ans
LANDRETHUN : le 26 août : Mr Alain Bomble, 52 ans

 

Carte blanche à BREMES Nostalgies… Qu’il était beau le marais de Brêmes lorsque enfant, au cours de vacances chez mon grand père, nous allions taquiner les poissons très nombreux à cette époque (goujons, roches, brèmes, tanches, perches ou anguilles) sans parler des brochets et des carpes. Assis tous deux sur une souche de saule, très calmes nous n’étions occupés que par le bouchon de notre ligne. Cela ne nous empêchait pas d’admirer les libellules avec leurs belles ailes bleues, un martin pécheur aux couleurs chatoyantes qui batifolait de roseaux en branches, quelques foulques ou poules d’eau peu farouches qui nageaient de-ci de-là, quelques canards (cols verts, pillet, souchet, oies) qui se propulsaient dans l’eau par de grands coups de pattes. Parfois un héron se posait dans un endroit peu profond pour attirer avec l’odeur de ses pattes le menu fretin qui lui servait de nourriture. Maintenant que reste-t-il de tout cela ?? Le coté sauvage n’est qu’un souvenir…. Les roseaux sont en voie de disparition, les herbes aquatiques qui proliféraient auparavant sont mortes, supprimant la nourriture pour les poissons et la gent ailée. L’eau claire est devenue verte… Les libellules ne sont plus qu’un souvenir….les tanches ont disparu…..les anguilles se font rares ainsi que beaucoup d’oiseaux mais nous avons hérité de rats musqués qui font d’énormes galeries dans les berges. Réfléchissons un peu à tout cela et agissons pour le bien de la nature…. C’est la vie de nos petits-enfants qui en dépend… Espérons !!!!! Mr et Mme CAULIER (des habitants du marais)

LA VIE DE NOS COMMUNAUTES CHRETIENNES Retour en images sur le 15 août… Bénédiction des enfants à la chapelle saint Quentin…

Photo : l’abbé N’Dour bénissant les enfants Procession à travers les rues d’Ardres présidée par Monsieur le doyen Minart Photo : La statue de Notre Dame dans la cour de la Maison de retraite Photo- : procession à travers les rues de la ville

Aller à la rencontre…

A l'école de Saint Vincent de Paul qui présente Marie comme un guide sur les chemins de l'Evangile, il est demandé aux vincentiens de vivre leur engagement dans la lumière du mystère de la Visitation.
C'est donc ce passage de l'Evangile selon Saint Luc que nous avions choisi en ce jour de neuvaine; Marie se rend disponible à Dieu d'abord et ensuite à sa cousine Elisabeth. Marie se lève et s'empresse dit le texte.
Ainsi, c'est ce dynamisme-là qui doit dicter notre attitude; nous devons être empressés de servir Dieu et les plus souffrants.
Saint Vincent nous dit : Il s'agit de porter le Christ en allant à la rencontre des autres. La visitation, il faut la faire en vue de Dieu seul, et comme la Sainte Vierge la fit en allant visiter Sainte Elisabeth, c'est-à-dire tout en douceur, en amour et en charité.
Marie, disponible, empressée, qui prend son temps avec les autres : voilà une source pour le vincentien qui doit révéler aux autres "qu'il y a Quelqu'un parmi eux"!
Servir l'Evangile, cette mission passe par le concret de la vie quotidienne des hommes.
La Société de Saint Vincent de Paul cherche non seulement (comme il est dit dans la règle établie par F. Ozanam et ses amis) à soulager la misère mais aussi à découvrir et à redresser les situations qui en sont la cause.
Elle apporte son aide à tous, quelles que soient la couleur, l'origine, le milieu, l'opinion et la religion.
Aussi, profitant de la présence de l'Abbé Bernard N'Dour, nous avons fait une quête au cours de la messe pour l'aider à réaliser ce projet qui lui tient tant à coeur, la création d'un bassin de rétention d'eau.
L'eau provenant du puits creusé depuis plusieurs années, étant devenue saumâtre, les hectares de terre ne sont plus irrigués correctement...
La générosité des personnes présentes ce jour-là nous a permis de lui remettre tout de suite après la messe une enveloppe bien garnie...!
Quel bonheur, sous le regard et en compagnie de Marie, d'avoir pu témoigner concrètement et ensemble du souci et de l'attention aux autres, si lointains soient-ils.
Merci pour cette joie partagée !

Catherine et les membres de la conférence Saint Vincent de Paul d'Ardres.

Photo Ngarine : au centre de Ngarine, un grand problème d’eau se pose pour le maraîchage

Viendrez-vous lire saint Luc ?
Lundi 7 septembre, plus de soixante dix personnes sont présentes pour le lancement des Maisons d’Evangile à la salle municipale d’Ardres. Elles viennent de tout le calaisis pour évoquer avec l’abbé Agneray le projet de l’année 2009 - 2010 qui est la lecture de l’Evangile de Luc
Ce projet n’est pas une fantaisie, c’est le prolongement des changements intervenus lors du Concile Vatican II et du congrès Ecclesia 2007 où 91 personnes du diocèse d’Arras se sont déplacées à Lourdes pour rénover et réorganiser la catéchèse.
« Nous savons qu’il est possible de rassembler des voisins, des amis, des inconnus, pour lire et accueillir l’Evangile, partager, peut-être un peu plus en laissant toute la place au Seigneur, nous dit Monseigneur Jaeger »
Comme l’an dernier, des groupes de cinq à six personnes vont se réunir pour lire ensemble, partager sur ce qui a été lu, prendre la parole pour dire ce que l’on retient ou ce qui interroge dans le passage. Peu à peu chacun se familiarise avec l’Ecriture.
L’Evangile de Marc est divisé en huit sections, qui seront lues en autant de réunions. Livret et fiches pour aider à mieux comprendre sont fournis.
Paul Agneray, après avoir présenté ce nouveau programme, invite à former des petits groupes et à échanger après avoir entendu la lecture du premier passage qui raconte l’annonce des naissances de Jean Baptiste et Jésus.
A la fin des échanges, les groupes mettent en commun les découvertes faites, les difficultés à mettre en place les Maisons d’Evangile. Comment accueillir des personnes étrangères à l’Eglise, trouver un horaire commun, donner envie de rejoindre un groupe… toutes ces questions sont communes à tous.
Le lancement des Maisons d’Evangile commence vers le mois d’octobre. Et vous, viendrez-vous nous rejoindre pour lire ensemble saint Luc ?

Françoise Cordonnier

Photo DSCF 7213 : l’abbé Agneray et Sylvie
Photo DSCF 7214 : pendant les échanges

ECHOS DE L’ARDRESIS
L’heure du bilan pour le SCA
Les championnats des Flandres de tennis par équipe ayant livré leur verdict, il était l’heure pour le Sporting-club ardrésien, présidé par Gérard Degryse, de faire un bilan de la saison.
L'équipe fanion masculine reste en division 2 régionale en se "sauvant" lors de la dernière journée. Côté féminin, l'équipe 1, perturbée par l'absence d'une joueuse "cadre" pour cause de blessure, descend en division 5 régionale. La performance de l'année revient à l'équipe 2 (Christophe Geisler, Bruno Carbonnier, Xavier Lagon, Quentin Louf, Vianney Déclemy) masculine qui termine première en pré-régionale 1 et qui accède donc à la division 6 régionale. L'équipe 3 masculine, conduite par Bruno Caulier, et qui a pour vocation "d'introniser" les jeunes du club, reste en pré-régionale 2. A noter également les très bons résultats des équipes jeunes du club : les équipes 13/14 ans filles et garçons terminent premières de leur championnat respectif ainsi que l'équipe 15/16 ans garçons. Dernière bonne nouvelle pour le club, Benoît Degryse, responsable enseignement du club, vient d'obtenir le Brevet d'état premier degré à Rueil-Malmaison. Benoît Degryse est un pur produit du club, licencié au club depuis 26 ans, membre de l'équipe première depuis 19 ans et initiateur depuis 16 ans, une longévité rare dans un même club. L'objectif majeur reste la "politique enseignement" fixée par le club qui est de faire découvrir le tennis à tous les publics en dispensant un enseignement de qualité, adapté à tous. A ce titre, des stages de tennis sont proposés pendant les vacances (places limitées).
Renseignements au 03 21 82 80 49 ou au 06 19 24 09 70.

Annie Degryse

Photo : L’équipe 2 du SCA qui accède à la Régionale avec Benoît Degryse (à gauche).

Le Club des aînés en balade
Après la fête du Poisson à Boulogne sur mer début août, nos amis du Club des Aînés sont partis le 1er septembre vers Amiens pour une visite commentée des Hortillonnages.
Ce sont quelque trois cents hectares de jardins entrecoupés par plus de soixante cinq kilomètres de voies d’eau (rieux en picard) au cœur même de la ville d’Amiens. Très belle promenade en barque au milieu de tous ces jardins superbement fleuris. Un concours de berges fleuries est organisé chaque année.
Puis nos amis sont allés à la découverte de la magnifique cathédrale, par une visite guidée très intéressante. La cathédrale est classée au patrimoine mondial de l’UNESCO. Après avoir flâné dans le quartier ancien de saint Leu, nous nous sommes restaurés chez Tante Jeanne avec un repas typiquement picard avant d’aller admirer la cathédrale illuminée en polychromie, ce qui rend toute la couleur aux sculptures des portails. Superbe spectacle que ces couleurs vives et précises ! Chacun est rentré avec de bons souvenirs de cette visite amiénoise… et attend les prochaines sorties qui permettent à tous de se divertir et sans doute de mieux vieillir !!!

Bernard Dubois

Photo DSC 0579 : sur les marches de la cathédrale

Rions un peu…
Les grands-parents de Laurine viennent lui rendre visite dans la région parisienne. L’après-midi, ils l’accompagnent sur une aire de jeux pour les petits enfants. Laurine s’ébroue, court, monte puis descend du toboggan… Son grand-père l’incite à changer de toboggan, elle obtempère et, après une courte descente, elle fait le tour de la structure, puis repart au premier toboggan, fait le tour deux fois, sous le regard interrogatif des adultes et revient leur dire : « Je ne peux plus aller à ce toboggan, il n’a plus son kellage ! »
- Son quoi ?
Et Laurine vient leur montrer la plaque qui indique, à titre indicatif pour les parents, l’âge requis pour s’exercer à ce jeu…

 

Bulletin d’abonnement à Regard en Marche
Abonnement annuel normal : 14 € Abonnement annuel de soutien : 15 €
Le renouvellement de l’abonnement au magazine mensuel Regard en Marche se fait avec le numéro de janvier. Je peux m’abonner en cours d’année, il m’en coûte 1 € 35 par mois
Je m’abonne à Regard en Marche
Nom : ………………………………………… Prénom : …………………………………
Adresse : ……………………………………………………………………………………
Code Postal : ……………………… Ville : …………………………………………………
Je joins un chèque à l’ordre de la Paroisse d’Ardres
A renvoyer ou à déposer au Secrétariat paroissial (à l’église d’Ardres)
Rue de l’Arsenal - 62610 - Ardres
(Le secrétariat est ouvert tous les matins de 10 h à 12 h du mardi au samedi)

 

2006 : Fevrier , mars , avril, mai, juin, juillet aout, sept/oct(non communiqué), novembre, décembre

2007 : janvier, fevrier, mars , avril, mai , juin, juillet aout, septembre , octobre, novembre , decembre

2008 :janvier, fevrier, mars, avril, mai , juin, juillet aout, HS Sept, septembre , octobre , novembre , decembre , HS déc,

2009 : janvier , fevrier , mars , avril , HS avril , Mai , Juin , HS Juin , Juillet Aout, HS Sep, Septembre, Octobre, Novembre, Decembre,

2010 : janvier , fevrier , mars , avril , Mai , Juin , Juillet Aout, Hors série de Septembre, Septembre, Octobre, Novembre, Décembre,

2011 : janvier, février mars avril mai hors serie juin juin septembre octobre novembre decembre

2012: janvier, février mars avril mai juin juillet-aout septembre octobre novembre decembre

2013 : janvier, février, mars non communiqué, avril, mai, juin , juillet , aout, septembre, octobre, novembre,decembre non communiqués

2014: janvier, février, mars, avril, mai non communiqués, juin, novembre decembre

2015: janvier, février, mars Paray-le-Monial decembre

2016: février, mars, mai, novembre,

2017: janvier , février , mars, avril, mai, juin, juillet, aout, septembre, octobre, novembre, décembre.

2018: janvier , février, mars, avril, mai, juin, juillet, aout, septembre, octobre, novembre, décembre.

2020: janvier , février , mars, avril, mai, juin, juillet, aout, septembre, octobre, novembre, décembre.