extraits du journal local REGARD EN MARCHE
Lu dans le journal paroissial de l'Ardrésis
LA VIE DE NOS COMMUNAUTES CHRETIENNES
FEVRIER 2010
EDITO
Chantal, Catherine… parmi d’autres.
Serviables, aimantes, elles viennent chaque jour aider Mariette pour ce qu’elle ne peut plus faire seule. Mariette en est très heureuse car ses enfants sont loin. Si Chantal ou Catherine n’étaient pas là, comment ferait-elle ?
Partir en Maison de retraite, Mariette y a songé, mais elle souhaite encore vivre chez elle, entourée de ses souvenirs, de ses meubles.
« Et puis, dit-elle, j’arrive à m’occuper, je tricote, je lis, je regarde un peu la télé. Mon seul problème est d’habiter loin des commerces et je marche difficilement ; je suis contente de voir arriver l’une de ces jeunes femmes qui m’aident pour le ménage et les courses. C’est une présence aussi. Les jours de tristesse, elles me remontent le moral, me racontent ce qui se passe au village. C’est agréable de pouvoir échanger, parler. Sans elles, je devrais quitter ma maison… »
Ses yeux brillent en disant cela. Imaginer un avenir ailleurs, elle ne veut pas y penser. Pourtant, elle sait qu’elle partirait si elle avait un gros handicap comme Julie son amie de toujours qui ne voit plus, ou comme Pierre qui oublie tout…
Heureusement, Chantal et Catherine sont là, vaillantes, aimantes, elles sont comme une famille, et Mariette sait qu’elle peut compter sur elles.
Françoise Cordonnier
La saint Valentin, le 14 février, est l'occasion de se dire ou se redire l'amour que l'on éprouve pour l'autre. Actuellement ce n'est plus une fête religieuse, mais l'Église cherche, depuis quelques années, à redonner un sens chrétien à cette fête.
Valentin est un prêtre italien qui fut martyrisé à Rome en 269- 270. L'empereur Claude II avait des difficultés à recruter des soldats pour les légions romaines. Les hommes préféraient rester aux côtés de leurs femmes ou fiancées. L'empereur décida d'interdire les mariages et les fiançailles sur tout son territoire. Les couples qui désiraient s’épouser devaient donc trouver en secret quelqu'un qui accepterait de les unir dans les liens du mariage. Un prêtre du nom de Valentin accepta de bénir les unions malgré les ordres de l'empereur. Il fut emprisonné et décapité.
Origine païenne
Comme plusieurs autres fêtes religieuses ( la Saint-Jean, par exemple et son rite très ancien des « feux de la saint Jean »), la fête de saint Valentin fut instituée par l'Eglise pour contrer une fête païenne déjà existante. Au quatrième siècle avant notre ère, en hommage au dieu romain Pan (le « luperculus, c'est à dire le chasseur de loups, protecteur des troupeaux), cette fête de plusieurs jours se nommait les Lupercales ou fête de la fécondité. Lors d'un banquet, les couples de jeunes gens et jeunes filles étaient tirés au sort et devaient passer un temps défini ensemble. C'est le pape Gélase Ier qui interdit la fête païenne peu respectueuse des femmes. Il décréta que l'on fêterait à la place saint Valentin, protecteur des couples. A cette époque, ce saint n'est pas encore le patron des amoureux.
La saint Valentin, fête des amoureux, commence au Moyen Âge. On appelait "valentin" le cavalier que chaque fille choisissait pour sortir le premier dimanche de carême et pour l'accompagner lors de sorties. Ce n'est qu'en 1496 sur décision du pape Alexandre VI, que le saint devient officiellement patron des amoureux.
On estime aujourd'hui que plus d'un milliard de cartes et cartes virtuelles (par mail) sont envoyées chaque année à l’occasion de cette fête, chiffre battu seulement par l'abondance de cartes échangées lors des fêtes de Noël et Nouvel An.
La prochaine réunion du comité de rédaction de Regard en Marche aura lieu à la Salle Notre Dame le mercredi 3 février à 18 h 30. Prière de déposer les articles et les photos au secrétariat paroissial avant cette date. Merci.
Le 13 décembre : Manon Bourré, Léa Delrue, Léa Leleu, Kellyah et Anaïs Lemaire, Tom Mercier.
ARDRES : 22 décembre : Mr André Fauvart, 90 ans
AUTINGUES : 9 décembre : Mme Jacqueline Vigneron, 83 ans
BALINGHEM : 23 décembre : Mme Eveline Dalibon, 78 ans
BOIS EN ARDRES : 10 décembre : Mme Ginette Carré, 74 ans – 14 décembre : Mr Jean Jacques Catez, 51 ans – 19 décembre : Mr André Hecquet, 80 ans
LANDRETHUN : 2 décembre : Mr Marius Waguet, 89 ans
LOUCHES : 24 décembre : Mme Geneviève Fontaine, 83 ans
NORDAUSQUES : 3 décembre : Mme Yvonne Ducrocq – 26 décembre : Mme Glorie
AU FIL DU TEMPS
Dialogue
Ils en rêvaient depuis longtemps de cette maison au bord de la mer, suffisamment grande pour accueillir enfants et petits-enfants.
L’objet de leur désir enfin déniché, ils la meublent avec soin. Symboliquement, ils posent un crucifix en fer forgé noir avec un Christ aux côtes saillantes sur la cheminée.
Claire avait remarqué le regard noir que lui jetait de temps à autre la cadette des petites-filles, toute fraîche émoulue de la garderie… c’est vrai qu’il avait un air sinistre !
Un après-midi où elles étaient seules, Claire explique avec des mots simples pourquoi Jésus est là sur la croix et insiste sur la résurrection, la vie après la mort.
Le jour suivant, la petite pointe un doigt vers la cheminée et dit dans son langage d’enfant : « Mamie, Jésus il n’est pas encore revit ? »
Depuis lors, un Christ ressuscité trône sur la cheminée. Devant lui, Mamie et petite-fille ont un regard complice. Il a fallu beaucoup d’amour pour redonner la vie.
Christiane Liné
Noël d’hier et d’aujourd’hui
Comme l’an dernier, l’Ecogymnase de Bois en Ardres accueille ce soir du 24 décembre plus de cinq cents fidèles de la paroisse pour fêter Noël ensemble, grands et petits, dans une veillée préparée avec les catéchistes et les enfants.
Un couple, dont la femme est enceinte se présente pour obtenir une chambre, mais, comme il y a deux mille ans, ils ne trouvent pas de place, si ce n’est dans une étable… Le lien est étroit et montre combien notre époque n’est pas plus généreuse.
Du fond de la salle s’avancent les enfants qui représentent une crèche vivante, Marie et Joseph, les bergers, tous s’installent sur une estrade. Ils vivent la scène de la Nativité avec conviction.
un public ravi
La liturgie de la nuit de Noël se poursuit animée de chants joyeux et traditionnels…
A la fin de la Messe, trois personnes nous interpellent : un médecin, un enseignant, un franciscain. Ils nous invitent à aller vers ceux qui sont dans la souffrance, à accueillir, à donner de notre temps, de notre savoir, et de voir en eux des frères.
Car…« c’est Noël chaque jour » de notre vie…
Françoise Cordonnier
Les CE2 et Noël
Le 15 décembre, les vingt quatre enfants de CE d’Ardres ont terminé l’année 2009 en réalisant chacun leur crèche. Découpage, collage, papier rocher décoré, ils ont voulu que leur œuvre soit la plus belle. Pour cela ils ont été aidés par des mamans, des mamies et les catéchistes qui les accompagnent toute l’année.
Voyez comme ils sont fiers de leurs réalisations !
Tous avec les catéchistes vous souhaitent une bonne année 2010.
Les catéchistes
Pas une église sans sa crèche …
Cette année, l’église Notre Dame de Grâce a construit une très belle crèche. Voyez plutôt… Bravo aux personnes qui l’ont créée.
SOLIDARITE
Pourquoi une journée Mondiale des malades ?
« La maladie d’un membre de la famille, d’un ami ou d’un voisin est appel pour les chrétiens à faire preuve de vraie compassion en prenant une part aimable et persévérante à sa douleur. » (Jean Paul II 1998)
Le Pape Jean Paul II instituait en 1992, la journée des malades, établissant sa célébration annuelle le 11 février, fête de Notre Dame de Lourdes, à l’occasion de cette journée nous sommes invités à prier le 11 février ou le dimanche proche de ce jour, (7 février 2010, avec le thème « Sois sans crainte ») pour les malades, les familles, toutes les personnes (personnel soignant, visiteurs de malades, membres des aumôneries hospitalières etc.) qui par leur service, accompagnent les malades au long des jours et les aident à avancer sur leur chemin.
Les besoins des malades
« Le souffrant a non seulement besoin d’un entourage, mais aussi d’une communauté ».
Les visiteurs de malades sont les envoyés de la communauté chrétienne pour être auprès de celui qui souffre, qui est seul… un lien dont l’essentiel pour lui lors de sa visite est de devenir un être de « compassion ».
L’Evangile montre au visiteur que c’est là sa vocation essentielle : être avec les gens là ou ils souffrent. Par sa visite le bénévole réalise pleinement sa mission : être et devenir le pont entre la personne visitée et la communauté paroissiale qui l’envoie, reflet de l’Eglise.
Par ses visites régulières auprès des personnes malades, âgées, handicapées, le visiteur pourra amener la personne visitée, si telle est sa foi à demander de vivre un sacrement : recevoir la communion, vivre le sacrement de la réconciliation, être vivifié par le sacrement des malades ; c’est tout un chemin de foi, de catéchèse, qui peut ainsi se vivre à partir d’une rencontre en lien avec la communauté paroissiale.
Qu’à l’occasion de la journée mondiale des malades, nous portions ce jour-là dans notre prière toutes les personnes que nous visitons personnellement et en équipe. Que le Seigneur accorde force et courage aux malades, qu’Il bénisse leurs familles et accorde aux visiteurs de poursuivre leur mission avec joie et compassion.
Françoise Blot
Carte blanche à LOUCHES
Quand les associations s’unissent
Le 12 décembre, on fête les Corentin, c’est le 12 décembre que naquit Marie Louise, future impératrice des Français et c’est un 12 décembre que la Joconde a été retrouvée à Florence. Dans un vieil almanach du jardinier, on lit : « les légumes rentrés à la cave ou en silo doivent être surveillés et il faut éliminer toute pourriture. » Eh bien, à Louches, la recommandation n’est guère suivie puisque ce 12 décembre, des légumes, surtout ceux de la vie associative quittent leur maison pour se rendre à la salle des fêtes où ils s’étaient donnés rendez-vous.
Ils étaient tous là, toutes les associations, il faut le souligner, étaient représentées. Ils étaient venus tous ces légumes, les uns avec leur épluche légume encore appelé économe et certains se mirent à déshabiller carottes, pommes de terre, oignons, poireaux pendant que d’autres, avec bonne humeur et leurs bras, aménageaient la salle en salle de spectacle et d’accueil, aucun ne faisait le poireau. Tous avaient une tâche précise définie lors d’une réunion préparatoire. Ce jour, ils n’étaient pas là en tant que membre d’une association, ils étaient Louchois tout simplement. Louches au service d’un projet municipal et, autant vous le dire tout de suite, ils ne faisaient pas ça pour avoir du blé ni pour avoir des radis. Il fallait que cette manifestation ne soit pas un navet et qu’elle soit le reflet d’une union louchoise. Et comment pourrait-elle être un navet ?
Les épluchures s’entassaient, les carottes et autres consœurs fondaient dans l’eau bouillante, les langues allaient bon train, ce qui est tout à fait légitime en pareille circonstance, le village fut passé en revue et certains éplucheurs s’autorisèrent même à parler des évènements mondiaux.
Devant la tournure des évènements, certains disaient en avoir gros sur la patate, d’autres trouvaient que certains ramenaient leur fraise alors que ce n’était pas le moment et les bonnes poires trouvaient qu’il n’y avait pas de quoi de faire du foin.
Mais, pourquoi, tous les légumes louchois, tous aux petits oignons, étaient-ils là ?
Tous les légumes, au clair de lune…
Tout simplement pour faire une bonne soupe de légumes, faite avec des produits du terroir, pas des légumes du terroir.
Pour qui ? Pour des touristes de l’Office du Tourisme qui pratiquaient un circuit des illuminations. A Louches, ils contemplèrent les réalisations d’artistes louchois : broderies, danse country, crèche, écoutèrent un conte qui valorisait le dialogue et… dégustèrent une bonne soupe.
Pourquoi ? Plonger dans la magie de Noël, vivre de grands moments de générosité autour de la soupe de l’union, une soupe qui fait grandir et qui grandit ceux, qui, ce jour, la font.
Quelle odeur ! Enveloppés des volutes de fumée qui s’échappaient des marmites, on imaginait le bonheur de ceux qui, pour quelques instants, seraient des nôtres et l’on se disait : « on prend beaucoup plus de plaisir à donner qu’à recevoir ». C’est ce qui a pressé les légumes dans un même élan à adhérer au projet communal. Tous dans un même élan, ont saisi l’opportunité pour écrire l’histoire du village à l’encre de la sueur. Passer une bonne soirée, pour une bonne cause, voilà une belle occasion de se connaître et reconnaître, et donner une âme au village (la soupe est ici un ferment d’espoir).
Bénévole au monde des Ya qu’à
Bien entendu, nous avons réussi cette mobilisation, car nous avons des bénévoles, nous ne sommes pas les seuls à en avoir. Le bénévole ! C’est un mammifère bipède que l’on côtoie dans les associations où avec ses congénères hommes et femmes, il organise de son plein gré, des manifestations sportives, culturelles, artistiques, sociales. Le bénévole a tellement de valeur qu’il n’a pas de prix, il devient de plus en plus rare. Pour le préserver, il faudra peut-être un jour, agir comme avec les animaux, en mettre dans les zoos !
Conditions pour être un bénévole :
- Avoir un téléphone portable avec forfait illimité, être optimiste pour lutter contre les conseilleurs de la société Ya qu’à, ses membres qui savent tout, disent ce qu’il faut faire mais ne font pas.
- Etre désintéressé. A notre connaissance, aucun bénévole louchois ne s’est enrichi.
Le bénévole n’est pas rémunéré mais il s’enrichit au contact des autres, moralement, intellectuellement, socialement. Il apprend comme le conte présenté ce jour à… négocier… négocier, à ménager la chèvre et le chou. A Louches et ailleurs, nous avons des bénévoles, et quand tous ces bénévoles, de quelque association qu’ils soient, se donnent la main, ce qui n’est pas du tout utopique, on réalise avec et pour les autres de bien belles manifestations, et l’on est heureux et fier de le faire.
Un frissons traverse le groupe lorsque l’un de nous s’écrie : les carottes sont cuites » heureusement, en cette circonstance, cela ne voulait pas dire que c’était la fin des haricots, mais que la soupe était à point.
Le 12 décembre 2009 est désormais une date importante pour la commune, Monsieur le Maire à cette occasion, versa quelques larmes. Certains dirent que c’était à cause des oignons qu’il épluchait, d’autre que c’était l’émotion. A vous de faire votre idée. Toujours est-il que ce jour, nous ne fîmes pas chou blanc et, le soir, les derniers invités partis, on en cassa pas la graine, mais on but un bol de soupe. Qu’elle était bonne !
Cécile, Jean Claude, Annick
Photos de louches:le conteur ,la danse country,le ravitailleur de légumes
TRIBUNE LIBRE
Compte de Noël : Offrez-lui un compte
Support publicitaire d’une banque pour Noël : c’est le rêve qu’elle propose aux enfants !
Ces espèces sonnantes et trébuchantes qui remplacent les cloches de la Messe de Minuit, et tant pis pour ceux qui n’ont rien. Si nous sommes entraînés dans cette spirale de l’Avoir, nous préparons l’oncle Picsou de demain qui se vautre sur un tas d’or. Nous créons la division, l’envie et la jalousie en ne proposant comme rêve que la possession… Nous n’avons d’autre culture que le trésor d’amasser, le compte à faire fructifier…
Où donc est ton cœur ? nous dit Jésus
En venant partager notre existence, gratuitement, lui qui n’a pas de pierre où reposer la tête, lui qui privilégie les rencontre avec les pauvres et laissés pour compte. La banque qu’il propose est celle du cœur, celle où notre compte est ouvert depuis toujours, celle où celui qui donne reçoit plus encore, celle où la vie est plus belle qu’un conte de Noël.
Au gré d’une lecture…
Marie Claire
EVENEMENT
Lire la Bible en continu
Participez à une lecture partagée, à un message de foi, à un acte de paix, c’est la Bible en continu.
Cet appel est lancé sur les doyennés du Calaisis et du Boulonnais. Il s’adresse à tous : chrétiens de toutes confessions, juifs et non chrétiens. Chacun peut y participer en tant que lecteur, veilleur, ou écoutant.
La proposition qui est faite (sept jours et six nuits de lecture en continu de la Bible de la Genèse à l’Apocapypse) se déroulera au carmel de Saint Martin Boulogne du dimanche 7 mars à 18 h au samedi 13 mars à 12 h.
Tous, sans distinction, sont invités à participer à cet évènement majeur. Il y aura une cérémonie d’ouverture et une cérémonie de fermeture.
Les inscriptions pourront se faire au moyen de tracts qui seront distribués donnant toutes les précisions nécessaires. Cela a déjà été vécu dans des villes comme Limoges, Valenciennes ou Lille. Plus de mille veilleurs et lecteurs sont nécessaires pour faire partager la Bible.
L’appel est lancé pour ce temps fort de grâces et de bénédictions.
Denis Larzet
Voir d'anciens extraits:
2006 : Fevrier , mars , avril, mai, juin, juillet aout, sept/oct(non communiqué), novembre, décembre
2007 : janvier, fevrier, mars , avril, mai , juin, juillet aout, septembre , octobre, novembre , decembre
2008 :janvier, fevrier, mars, avril, mai , juin, juillet aout, HS Sept, septembre , octobre , novembre , decembre , HS déc,
2009 : janvier , fevrier , mars , avril , HS avril , Mai , Juin , HS Juin , Juillet Aout, HS Sep, Septembre, Octobre, Novembre, Decembre,
2010 : janvier , fevrier , mars , avril , Mai , Juin , Juillet Aout, Hors série de Septembre, Septembre, Octobre, Novembre, Décembre,
2011 : janvier, février mars avril mai hors serie juin juin septembre octobre novembre decembre
2012: janvier, février mars avril mai juin juillet-aout septembre octobre novembre decembre
2013 : janvier, février, mars non communiqué, avril, mai, juin , juillet , aout, septembre, octobre, novembre,decembre non communiqués
2014: janvier, février, mars, avril, mai non communiqués, juin, novembre decembre
2015: janvier, février, mars Paray-le-Monial decembre
2016: février, mars, mai, novembre,
2017: janvier , février , mars, avril, mai, juin, juillet, aout, septembre, octobre, novembre, décembre.
2018: janvier , février, mars, avril, mai, juin, juillet, aout, septembre, octobre, novembre, décembre.
2020: janvier , février , mars, avril, mai, juin, juillet, aout, septembre, octobre, novembre, décembre.
pour toute erreur ou lien manquant: contacter la webmaster merci