extraits du journal local REGARD EN MARCHE

février_2011

Lu dans le journal paroissial de l'Ardrésis
LA VIE DE NOS COMMUNAUTES CHRETIENNES

MARS 2011

EDITO


Quel avenir pour notre Eglise ?

Vivre en chrétien engagé n’est pas vivre sa religion en consommateur averti, mais en participant vraiment à la vie de la communauté dont nous faisons partie.
Que serait devenue l’annonce de l’Evangile si les apôtres étaient restés enfermés à Jérusalem, s’ils n’étaient pas partis à travers le monde, bravant les dangers, les persécutions, voire l’incompréhension de leurs familles, de leurs contemporains ?
Notre époque, avec sa déchristianisation latente, nous remet en question. Il ne s’agit pas d’aller au bout du monde pour évangéliser, il suffit d’être là en témoin de notre foi en Jésus Christ. L’Eglise est en recherche d’ouvriers. Les domaines dans les quels nous pouvons agir sont à notre mesure. Point n’est besoin d’être diplômé pour accompagner les malades, les personnes âgées, les démunis ou les enfants. Chacun sait bien où et comment il peut être utile, mais l’obstacle vient de nous, de la peur de s’engager.
Avant de regretter la désaffection des jeunes vis-à-vis de notre paroisse, ne devons-nous pas revoir notre propre attitude : ouvrir le dialogue, leur faire une place serait déjà un commencement et montrer que notre communauté a besoin d’eux qui sont l’avenir de l’Eglise.

Françoise Cordonnier

 

Une lettre de Jésus
Cher ami,
Comment vas-tu ? Il fallait que je t’envoie un mot pour te dire comment je t’aime et me fais du souci pour toi.
Je t’ai vu hier quand tu parlais à tes amis. J’ai attendu toute la journée en espérant que tu me parlerais aussi. Quand vient le soir, je te donnai un coucher de soleil magnifique pour terminer ta journée et une brise fraîche pour te reposer… Et j’attendis. Tu n’es jamais venu. Oh oui ! ça m’a fait mal d’être ignoré, mais je t’aime quand même.
La nuit dernière, je t’ai vu t’endormir et, désirant toucher ton front, j’ai répandu un rayon de lune sur ton oreiller et ton visage et j’attendis encore. Mais tu ne m’as pas parlé. Tu te réveillas tard et partis précipitamment pour travailler, et mes larmes étaient mélées à la pluie qui tombait alors.
Aujourd’hui, tu as l’air rudement triste, tellement seul, ça me brise le cœur parce que je comprends. Mes amis m’ont laissé tomber et m’ont blessé très souvent, moi aussi. Si seulement tu partageais avec moi ta pluie et ta solitude, je suis certain que je pourrais t’en soulager. Je t’aime, tu sais et j’essaie de te le dire par le ciel bleu et par la tendre herbe verte. Je te le crie dans les ruisseaux de montagne et je donne aux oiseaux des chansons d’amour à te chanter. Je te le murmure dans les feuilles des arbres, je t’écris dans la couleur des fleurs. Je t’habille de la chaleur du soleil et aromatise l’air du parfum de la nature.
Mon amour pour toi est plus profond que l’océan et plus grand que le plus vif de tes désirs. Oh ! si seulement tu savais combien je veux te parler et t’accompagner sur la route.
Je sais que c’est parfois difficile sur cette terre, je le sais vraiment, j’y ai vécu aussi. Et puis, je veux que tu rencontres mon Père, car, mes amis sont les siens aussi.
Appelle-moi… demande-moi… parle-moi ! Ne m’oublie pas, j’ai tant de choses à partager avec toi. Je ne t’importunerai pas, tu es libre de m’accepter comme ami. C’est ta décision. Moi, je t’ai choisi, et, à cause de cela, j’attendrai encore parce que je t’aime.

Ton ami, Jésus

 

AU FIL DU TEMPS


Un œil dans le rétroviseur

L’hiver a été rude. La neige a recouvert de son blanc manteau de nombreuses régions. Si les sites étaient enchanteurs, nous avons constaté que notre société était vulnérable face aux éléments de la nature.
Jour après jour, heure après heure, les nouvelles nous parviennent :
- encombrements des réseaux routiers dûs aux carambolages
- retards des trains qui compliquent la vie des usagers
- commerces qui vont au ralenti …
Alors, il y a ceux qui ronchonnent et pointent du doigt les fautifs et ceux qui se remontent les manches comme le raconte ce fait divers :
Dans cette campagne de l’Aisne, la neige est tombée en abondance. Ce matin-là, Claude va mettre deux heures pour rejoindre le lieu de sont ravail. Sitôt arrivé, il reçoit un message de sa femme :
- Reviens vite, le bébé va arriver !!!
Avec son patron, ils font le trajet inverse et emmènent la future maman vers la maternité. En cours de route, le 4x4 s’immobilise dans les congères. Ils font alors appel à un agriculteur et c’est en tracteur qu’elle arrive enfin à l’hôpital. Un petit garçon est né dans la soirée…
Il aura une belle histoire à raconter quand il sera grand…
On a encore beaucoup à espérer du genre humain.
Christiane Liné

 

JOIES ET PEINES

BAPTEMES
Le 9 janvier : Faustine Loget, Julia Lefebvre

DECES
ARDRES : le 8 janvier : Mme Renée Sagnier, 98 ans
BREMES : le 3 janvier : Mme Colette Dufour, 85 ans
LOUCHES : le 5 janvier : Mr Daniel Denèkre, 75 ans
RODELINGHEM : le 5 janvier : Mme Thérèse Evrard, 86 ans

Les membres de la Conférence saint Vincent de Paul d’Ardres
du réseau Ozanam

vous invitent à leur vente-expo
(agrémentée d’un salon de thé – buvette)
Les samedi 12 et dimanche 13 mars de 10 h à 18 h
à la salle municipale d’Ardres
Merci de penser à nous faire une petite visite
Cette vente préparée tout au long de l’année nous permet
de continuer notre accompagnement auprès des familles les plus fragilisées de l’Ardrésis

 

ENTRETIEN DU MOIS
Elodie vient de célébrer son premier engagement, après trois années de cheminement chez les Petites sœurs du Sacré Cœur. Beaucoup d’émotions, de joie, de fraternité, de prière…
Ecoutons ce qu’elle nous dit :

Voilà trois ans que je chemine avec les petites sœurs du Sacré Cœur et je désire aujourd’hui prononcer mes premiers vœux au sein de la fraternité.
Cet engagement est pour moi la forme concrète que prend mon désir de répondre à l’Appel du Christ en lui donnant ma vie et en cherchant à le suivre et à l’aimer jusqu’au bout. Ce chemin de la vie religieuse est un chemin parmi d’autres, ni mieux ni moins bien mais je crois que c’est mon chemin.

Qu’as-tu découvert pendant ces années ?
Les années de postulat et de noviciat m’ont permis de découvrir notre belle spiritualité dans sa dimension de prière, de vie fraternelle en communauté et dans nos lieux de vie et d’insertion, dans son lien privilégié d’amitié avec les plus pauvres et les croyants d’autres religions, tout particulièrement les musulmans, dans le choix de chercher à vivre avec eux la vie ordinaire de Nazareth, selon l’inspiration du Frère Charles.
J’ai vécu ces trois années comme un temps d’enracinement dans la confiance qui me permet aujourd’hui d’oser le saut de l’engagement.

Comment vois-tu cet engagement ?
Confiance en Dieu, en son amour fidèle et sa miséricorde qui pose sur moi un regard d’espérance… Dieu a pris soin de moi, qui prend soin de moi et prendra soin de moi… Dieu Père, Fils et Esprit Saint qui me fait confiance et qui m’invite à faire de même, à dépendre de lui… Dieu dont j’entends sans résonner ses paroles « Sans moi, tu ne peux rien faire » et « Ne crains pas, je suis avec toi ». Confiance également en la fraternité.
Faire l’expérience de la vie communautaire, cela a été pour moi surtout apprendre à recevoir (moi qui rêvait de donner), apprendre à dépendre, à ne plus mener ma vie toute seule, à me laisser déranger, conseiller… découvrir de plus en plus profondément que j’ai besoin des autres, de mes sœurs pour avancer en vérité sur mon chemin vers Dieu.

Aujourd’hui, tu te sens prête à t’engager ?
Oui, cette double confiance reçue me donne aujourd’hui, au-delà des peurs et des résistances, assez de confiance en moi-même pour oser faire ce saut de l’engagement à la suite du Christ et je crois que les vœux sont un bon GPS pour m’aider à avancer et grandir dans l’amour et la liberté intérieure.
Avant de prononcer mes vœux, je voudrais remercier tous ceux qui m’ont accompagné : votre propre OUI à la vie soutient et encourage le mien et je désire insérer mon OUI dans cette longue chaîne qui prolonge et déploie le OUI de Marie, « pour que le monde ait la vie »

Propos recueillis par Béatrice Bouquet

Photo DSCF 7986 : Elodie entourée de sa famille

 

VIE DE NOS COMMUNAUTES CHRETIENNES
Création à Graine de Parole
La création à travers les images proposées interrogent les enfants et leurs parents sur ce qu’ils voient autour d’eux : un beau paysage, une sculpture, un coucher de soleil, des enfants en famille, un animal et son petit… jusqu’à la représentation de la création de notre terre et ce qu’elle abrite.
Tour à tour, chacun exprime ce à quoi telle ou telle image lui fait penser et s’émerveille de ce que Dieu nous a donné.
Un temps d’échange suivi d’une lecture de la création lue par Monsieur l’abbé Bernet dans une célébration tournée vers Jésus.

Françoise Cordonnier

Photo P 1000646 et P 1000659

Marché de Noël de l’ACE
Cette année, on a décidé de faire un petit marché de Noël pour se faire connaître et avoir un peu d’argent pour nos activités. En club, on a fait du bricolage : des cartes, des bonshommes de neige, des crèches, des étoiles…
Le 19 décembre, on a lu un petit mot à la messe de Nielles pour nous présenter et ensuite, on a vendu ce que l’on avait fabriqué. Malgré la neige, les personnes présentes nous ont fait bon accueil. Merci encore à eux et à nos mamans qui nous ont conduits.
Nous étions aussi présents à la veillée de Noël

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Le club de Louches et Marie Caroline

 

SOLIDARITE


Une seule famille humaine

Tous les peuples forment ensemble une même communauté.
« Dieu a créé à partir d’un seul homme tous les peuples et les a établis sur toute la terre » (Actes des Apôtres 17-26)
Dieu nous a fait tous différents les uns des autres… Cette différence est importante de Dieu.
Est-ce vrai que lorsque Jésus parut, homme comme nous, en frère, il nous accueillit tous, inconditionnellement, nous portant en son cœur, si loin, si profond, qu’en Lui, nous fûmes incorporés devenant membres de son Corps, au point que, désormais, nous ne puissions toucher à l’un de nous, sans qu’il dise : « C’est Moi » ?
Si c’est vrai, ô mon Dieu, et je crois que c’est vrai, comment pouvons-nous appeler un seul homme « étranger » puisque nous sommes tous les fils d’un même Père et tous frères les uns des autres…
Si nous nous regardions mutuellement avec les yeux de Dieu ?
En réponse à cette lettre interpellante, quelques chrétiens de la paroisse Notre Dame en Ardrésis, soutenus par l’abbé Jean Bernet, se sont mobilisés pour la Journée mondiale du migrant et du réfugié du dimanche 19 janvier.
Des cartons furent mis à disposition en l’église d’Ardres durant une semaine afin d’y recueillir des denrées alimentaires, des produits d’hygiène pour ces personnes confrontées au minimum d’existence.
Votre générosité nous a permis de récolter une trentaine de kilos de produits alimentaires et quelques produits d’hygiène directement remis à un membre de l’association SALAM.
Merci à toutes les personnes qui ont répondu avec leur cœur pour réchauffer celui de Jésus à travers les « sans rien » de notre monde soi-disant moderne !

Catherine Loots

Photos anniversaire 006 et 002

POUR ALLER PLUS LOIN…
Nos racines bannies de la sphère publique.
Lentement mais sûrement le judéo-christianisme se fait balayer vers la porte de sortie. Oh, bien sûr, il ne s’agit pas d’une franche persécution bien tranchante et bien sanglante comme nos pères en connurent sous d’autres cieux en d’autres temps mais enfin, qu’on le veuille ou non, on nous prie de disparaître vers les arrière-cuisines en nous demandant de n’en plus bouger. Années après années le bannissement se fait de plus en plus pressant.

Les crèches disparaissent de l’espace public sous le prétexte qu’elles blessent le regard du non chrétien : les santons sont jugés indésirables sur les places des villes et même des villages. Je lis dans « La Croix » du mercredi 18 décembre que le tribunal administratif d’Amiens a annulé une décision du conseil municipal de Montiers (Oise) qui avait décidé l’installation de la traditionnelle crèche de Noël sur la place du village. Motif ? La loi dispose qu’après 1905 on ne peut plus apposer de symbole religieux dans l’espace public hormis sur les édifices du culte.
L’avocat a eu beau argumenter qu’on était ici bien plus dans la sphère culturelle que dans le religieux, rien n’y a fait. Le juge administratif semble ignorer que même dans les familles non catholiques – voire même non croyantes - on trouve souvent des crèches au pied du sapin parce que cela fait partie des symboles de Noël et que cette fête est devenue elle-même au fil des siècles une fête de famille, quelles que soient les convictions religieuses des uns et des autres. Le plus beau c’est que le recours en justice avait été introduit par une personne qui n’habite plus le village et qui déclare, quand on l’interroge « qu’il y a des sujets bien plus importants ».

Une entreprise de reniement paisible.
Eh bien, je ne suis pas de cet avis. Ceci me semble non seulement important, mais symptomatique et je n’en veux pour preuve qu’une autre affaire. Depuis des mois le journal gratuit « 20 minutes » avait prévu un supplément pour la fête de l’Immaculée Conception qui est dans le diocèse de Lyon l’occasion de rendre hommage à la Vierge Marie en posant des lumignons sur le rebord des fenêtres le soir du 8 décembre. Ma famille s’est prêtée à ce rite durant toute mon enfance… Mais le journal a finalement décidé de ne pas publier son supplément parce que la prière de la Salutation Evangélique risquait de choquer ses lecteurs…
Comme le répète souvent Mgr Ravel, nous sommes entrés depuis quelques années dans un régime de laïcité qui ignore ou gomme tout ce qui est religieux. Et comme le dit Jean Pierre Denis, le rédacteur en chef de « La Vie » : « le christianisme n’est pas violemment éjecté de la sphère publique mais tranquillement banni de tous les espaces de la mémoire collective, de tout notre inconscient culturel. Nous vivons une entreprise de reniement paisible, insidieux, et politiquement correct en diable. »

Rejet du religieux
Les idéologues pervers qui promeuvent une telle laïcité de renoncement, de déni et de nettoyage par le vide montrent par là leur ignorance crasse de la nature humaine et font le lit de futures guerres civiles. Tout d’abord la population française issue de l’immigration, comme tous les étrangers vivant dans notre pays, assimilent ce rejet religieux à un refus de Dieu et renforcent encore le mépris profond dans lequel ils tiennent l’occident, terre d’athéisme. Et cela justifie encore davantage toutes les formes de « guerres saintes » qui se livrent sur notre sol contre une Europe devenue terre païenne d’où Dieu est banni.
Voilà comment nous fournissons avec la plus grande complaisance les bâtons qui nous rosseront et les bombes qui nous frapperont ! L’Europe, dans un masochisme irrationnel et suicidaire, refuse de reconnaître ses racines judéo-chrétiennes. Sa fin est donc inéluctable car, c’est une certitude, ceux qui renient leurs racines sont sans avenir.

Robert Poinard
Vicaire Général du Diocèse aux Armées


photo : La crèche de Louches sur la place du village

Liberté religieuse
Le rapport 2010 sur la liberté religieuse dans le monde, place les chrétiens comme cible principale de l’absence de liberté religieuse.
De nombreux pays sont concernés et les motifs de cette négation sont religieux (Islam, hindouisme) ou idéologiques (communisme).
Dans nos pays occidentaux, la religion chrétienne est ignorée, absente des médias. Est-ce à dire que nous, chrétiens, sommes devenus indifférents et que la religion n’est plus au centre de notre vie ? Les musulmans disent que nous sommes des athées et qu’il est de leur devoir de nous convertir. On ne s’étonnera pas qu’en Angleterre, les programmes relatifs à la commémoration de la Shoah ont été retirés de certains établissements scolaires au motif que cela pouvait heurter la population musulmane…
Et nous qui avons la liberté d’affirmer notre foi, sommes-nous des chrétiens convaincants et convaincus, capables de faire renaître la Bonne Nouvelle dans notre communauté ?
En ce début de Carême, il nous est donné de vivre une conversion par la prière, le partage, le jeûne, afin de découvrir dans celui qui est pauvre, malade, le visage du Christ.

Françoise Cordonnier

 

TRIBUNE LIBRE


A quoi servent les grands-parents ?

Nos parents sont la mémoire de nos enfants. Que doivent faire passer les aînés à leurs petits-enfants ?
La transmission, on savait déjà que c’était la grande préoccupation des grands-parents, pour moi, c’est une question que je ne me suis jamais posée ! Peut-être parce qu’elle est chez nous tellement quotidienne et évidente.
Mais qu’en pense la génération intermédiaire, celle des parents ?
Avant tout, les parents désirent qu’ils soient les vecteurs de la mémoire familiale. Dans un monde qui évolue très vite, et face aux transformations de la famille et du travail, les 25-50 ans comptent aussi sur la sagesse, le recul, l’expérience de vie de leurs aînés. Enfin, ils espèrent que passera entre les générations, le goût de vivre, la capacité d’épanouissement personnel, devenus si importants pour toute la société. En revanche, ils attendent assez peu que les grands-parents transmettent des valeurs. Ils estiment que cela relève de leur propre mission.
Nous, parents, sommes obligés d’être vigilants, toujours cohérents, et ne devons pas céder aux caprices. Les grands-parents peuvent se permettre une souplesse qui donne une porte de sortie aux enfants, tout en sauvegardant notre autorité. Cette complémentarité est d’autant plus facile que nous sommes d’accord avec eux sur les valeurs importantes.
C’est bien une qualité de présence qu’attendent les parents et les enfants.
« N’enfermez pas les grands-parents dans le passé… »

Béatrice Bouquet

 

 

POEME

Bonheur…

Le bonheur tout court
Avec des joies simples
Et des gestes justes.

Autour de la beauté de la vie,
Des émerveillements qui se bousculent,
Dans l’étonnement d’être.

Le bonheur au quotidien,
En cadeau dans son cristal de lumière.

Le bonheur tout simplement,
Pétillant, ardent, inépuisable,
Telle une respiration amplifiée,
Dans un présent ébloui.

Le bonheur, toute petite flamme immobile,
Précieuse, magique et mystérieuse
Au plein cœur de chacun

D’après Jacques Salomé

 

Voir d'anciens extraits:

2006 : Fevrier , mars , avril, mai, juin, juillet aout, sept/oct(non communiqué), novembre, décembre

2007 : janvier, fevrier, mars , avril, mai , juin, juillet aout, septembre , octobre, novembre , decembre

2008 :janvier, fevrier, mars, avril, mai , juin, juillet aout, HS Sept, septembre , octobre , novembre , decembre , HS déc,

2009 : janvier , fevrier , mars , avril , HS avril , Mai , Juin , HS Juin , Juillet Aout, HS Sep, Septembre, Octobre, Novembre, Decembre,

2010 : janvier , fevrier , mars , avril , Mai , Juin , Juillet Aout, Hors série de Septembre, Septembre, Octobre, Novembre, Décembre,

2011 : janvier, février mars avril mai hors serie juin juin septembre octobre novembre decembre

2012: janvier, février mars avril mai juin juillet-aout septembre octobre novembre decembre

2013 : janvier, février, mars non communiqué, avril, mai, juin , juillet , aout, septembre, octobre, novembre,decembre non communiqués

2014: janvier, février, mars, avril, mai non communiqués, juin, novembre decembre

2015: janvier, février, mars Paray-le-Monial decembre

2016: février, mars, mai, novembre,

2017: janvier , février , mars, avril, mai, juin, juillet, aout, septembre, octobre, novembre, décembre.

2018: janvier , février, mars, avril, mai, juin, juillet, aout, septembre, octobre, novembre, décembre.

2020: janvier , février , mars, avril, mai, juin, juillet, aout, septembre, octobre, novembre, décembre.

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