extraits du journal local REGARD EN MARCHE

juin_2011

Lu dans le journal paroissial de l'Ardrésis
LA VIE DE NOS COMMUNAUTES CHRETIENNES

JUIN 2011

EDITO


Quand la musique est bonne, bonne, bonne, bonne
Nous connaissons bien ce tube de Jean-Jacques Goldmann.
Car il y a des musiques qui sont bonnes et d’autres qui ne le sont pas
Il existe tant de genres musicaux, tant de styles différents que l’inventaire est quasiment impossible. Ce qui est certain c’est que la musique est censée nous faire plaisir et qu’elle est loin d’y parvenir .toujours.
La musique, la musique…. Mais de quoi parle-t-on ? Aussi vieille que le monde, aussi vieille que l’homme surtout, elle l’accompagne de son berceau (les berceuses) à sa tombe (les marches funèbres) en passant par tous les âges de la vie : les comptines des petits enfants, les chansons sentimentales des adolescents, les marches nuptiales des mariés, sans oublier les musiques militaires, et l’immense répertoire de la musique lyrique. Sans parler de celui de la musique religieuse !
La musique est la plus fidèle compagne de l’homme car elle lui permet de s’exprimer en toutes circonstances, de communiquer sans connaître la langue de son interlocuteur, elle lui permet de soulager son cœur quand son cœur est trop lourd….elle lui permet de prier Dieu quand les mots ont perdu leur saveur. La musique est un univers familier, mais tellement mystérieux : des vibrations sonores de toutes les couleurs, portées par des timbres infiniment variés seraient donc capables de donner à l’existence une qualité spirituelle, une saveur insoupçonnée ?
Oui c’est vrai à une condition : quand la musique est bonne, bonne, bonne

Abbé Jean Bernet


ENTRETIEN DU MOIS


Le parcours d’une infirmière


Dorothée nous le fait partager…
« J’habite Nielles les Ardres, je suis mariée et j’ai deux enfants. J’ai fait mes études à Calais de 1983 à 1986 à la Croix Rouge où j’ai obtenu mon diplôme. Je suis partie travailler à Berck à Hélios Marin dans le service de Neurologie. Au bout de huit ans, je suis revenue à Calais où j’ai intégré le Centre Hospitalier, toujours en tant qu’infirmière aux Urgences en ne faisant que des postes de nuit.
Et puis, j’ai évolué dans la hiérarchie et je suis devenue Cadre Supérieur de Santé à la Roselière, Château des Dunes, Jardin d’Opale, S.S.R. adultes de Coubertin, Réadaptation cardiaque…
Dernièrement, au Centre de Calais, j’ai été nommée Chevalier dans l’Ordre National du Mérite, distinction qui m’a été remise par ma supérieure Madame Wicquart, directrice des soins. »
REM : Lors de la réception, de nombreuses qualités ont été citées plusieurs fois : courage, loyauté, franc parlé qui est une forme supérieure de loyauté, engagement, humanité avec l’importance donnée à la bien-traitance, bonne humeur… C’est le Directeur du centre hospitalier qui l’a justement fait remarquer « On n’est pas médaillé par hasard et sans l’avoir mérité »
Dorothée : « C’est un fait, il faut beaucoup de patience, de chaleur avec les malades et aussi avec le personnel qui m’entoure et je veux els mettre à l’honneur. J’avoue aussi ma surprise lorsque j’ai reçu le courrier signé du Ministre de la Santé… Je travaille dans une profession plutôt critiquée, c’est rare d’être félicitée.

Propos recueillis par Béatrice Bouquet

Photo 1 : Dorothée (Photo B. Bouquet)


Sortie des servants d’autel


Photo : sortie avec les servants d’autel le 27 avril 2011 (Photo G. Bryche)
Ici, tous les enfants avec l’abbé Bernet à Condette

 

AU FIL DU TEMPS


Réflexions autour du chocolat


Chaque semaine, un grand quotidien régional ouvre une page aux 18-25 ans.
La question du jour est : « Que signifie Pâques pour vous ? » Dix réponses ont été sélectionnées. Parmi elles, deux lecteurs ont mis cette fête au cœur de la foi chrétienne, symbole du passage de la mort à la vie, souffrance humaine partagée par Dieu.
Cette année, elle était aussi symbole d’unité chrétienne pour les orthodoxes, les protestants et les catholiques qui fêtaient Pâques le même jour.
Pour les huit autres, c’est le plaisir de faire la fête avec la famille rassemblée, quelques jours de repos, l’évasion qui fait oublier le monde du travail. Elle n’a plus pour certains, n’a jamais eu pour les autres de conations religieuses…
Par contre, le rituel observé par tous c’est la chasse aux œufs en chocolat, bonheur pour les petits et les grands. Les premiers se font fins limiers pour emplir leur panier, les autres s’en souviennent toujours avec nostalgie.
D’après une spécialiste de l’histoire de la famille, les rituels sont des repères sécurisants… Ils rythment la vie de chacun. Alors, quand le religieux n’est plus au centre de la vie, il faut inventer autre chose pour humaniser l’existence.
Nous sommes dans la période des Professions de foi où de nombreux jeunes s’engagent à la suite de Jésus. L’Eglise a besoin d’eux car elle est toujours à bâtir.
Puissent-ils garder toujours le sens de la fête de Pâques, même s’il n’est pas interdit d’aimer le chocolat et les rites qui l’entourent.

Christiane Liné : Chasse aux œufs (Photo F. Cordonnier)

 

 

 

 

 

JOIES ET PEINES

Baptêmes
Le 10 avril : Lisa Loisel, Timéo Dufossé.
Le 24 avril : Kandys Dagbert, Axel et Tom Fumey, Elsa Lefebvre, Lilou Leroy, Amaury Wayolle

Décès
ARDRES : le 20 avril : Mme Micheline Fouble, 88 ans
AUTINGUES : le 6 avril : Mr Louis Morizot, 88 ans
BREMES : le 26 avril : Mr Yvon Condette, 64 ans
LANDRETHUN : le 14 avril : Mme Eveline Specq, 82 ans
LOUCHES : le 30 avril : Mr Michel Lefebvre, 62 ans
NORDAUSQUES : le 29 avril : Mr Roger Rosé, 88 ans

 

 

LA VIE DE NOS COMMUNAUTES CHRETIENNES


Souvenirs du Rwanda


En cette soirée partage, l’abbé Deschildre a longuement parlé de sa vie au Rwanda dans les années 60.
Missionnaire auprès des populations de ce pays de l’est africain, il a vécu des années dans une paroisse de plus de 40 km de long à plusieurs clochers, ce qui nécessitait l’organisation d’une paroisse principale et de centrales gérées par des chefs de communautés pour la prière du dimanche, la pastorale…
Le Rwanda est un pays de collines composé de 3 ethnies dont les Tutsi et Hutus sont les plus représentées. Dans la région où Jean Deschildre a vécu, ce sont les Hutus qui dominent, un peuple de bergers où le troupeau est important.
Arrivé en 1963, Jean Deschildre va d’abord dans un séminaire et apprend la langue auprès des femmes et des enfants. Puis, il travaille dans une paroisse, crée des écoles de catéchisme, des centres de soins et de nutrition, il assure la formation des laïcs, visite les communautés…
Puis, il travaille dans l’hôpital de Kigali comme aumônier et engage des personnes pour aider, car en Afrique, les hôpitaux soignent les patients, mais ne préparent pas de repas.
La vie dans ce pays est simple : l’homme travaille, la femme éduque les enfants. Les cultures de pommes de terre, petits pois, manioc sont cultivées à la houe dans les zones de marais. Il est possible de faire deux récoltes par an en janvier et en automne. Pas d’engrais, la terre est pauvre. Les gens ne mangent pas de viande, mais élèvent des chèvres, des vaches et des volailles.
Les écoles sont peu nombreuses et il n’est pas rare pour un enfant de faire 1 h à 1 h 30 de marche pour venir à l’école avec son repas…
En avril, la mort du Président dans un accident d’avion déclenche un génocide, et la France évacue un million de personnes vers le Congo. Mais les troubles étaient déjà latents dès 1962 quand le pays est devenu une république.
Le Père Deschildre nous confie quelques anecdotes sur sa vie là-bas et des souvenirs plus difficiles liés au génocide dont il garde des images particulièrement dures. Cependant, les gouvernements actuels font tout leur possible pour les enseignants et les personnels dans les centres de soins.
Cette soirée suivie par plus de cinquante personnes s’est terminée par le traditionnel bol de soupe préparé par l’équipe de Landrethun qui a organisé ce partage convivial.

Françoise Cordonnier : Jean Deschildre (Photo F. Cordonnier)


 

PAGE DES JEUNES


Les J.M.J. – Août 2011 - Madrid


J’ai pu assister à un repas au Lycée saint Pierre de Calais organisé par des jeunes de Calais, Ardres (Professeur des écoles à Notre Dame) partant aux J.M.J. Des témoignages nous ont permis de vivre leur préparation et leur engagement…
Les jeunes qui partiront aux Journées Mondiales de la Jeunesse à Madrid en août prochain se sont rassemblés pour animer les messes du 5ème dimanche du mois. Certains ont été à l’église saint Pierre, d’autres à l’église Notre Dame de Consolation.
Les paroissiens des différentes communautés on pu découvrir un peu mieux les JMJ avec une animation active des jeunes par les chants, les lectures, la présentation de leur voyage.
Que sont les JMJ ?
En 1984 et 1985, jean Paul II invite les jeunes à se rassembler à Rome pour un jubilé jeunesse. 450 000 jeunes participent à cette rencontre. Jean Paul II, encouragé alors par la popularité de ces rassemblements, créée les Journées Mondiales de la Jeunesse. Elles ont lieu chaque année au Vatican le dimanche des Rameaux. Tous els deux ou trois ans, elles prennent la forme d’un grand rassemblement des jeunes du monde entier. Jean Paul II réunit les jeunes à Buenos Aires, à Saint Jacques de Compostelle, à Czestochowa, à Denver, aux Philippines, à Paris, à Rome et à Toronto. Benoît XVI prend le relais, il les rassemble à Cologne, à Sydney et cet été à Madrid.
Les JMJ sont un temps d’échange et de rencontre entre les jeunes d’horizons différents. Chacun peut développer son propre dialogue avec le Christ.
Les JMJ, à Madrid, en 2011
Cet été, les Journées Mondiales de la Jeunesse prendront la route de l’Espagne. Un million et demi à deux millions de jeunes sont attendus en Espagne pour deux semaines. Le thème choisi par le Saint Père est « Enracinés et fondés en Christ, affermis dans la foi » (St Paul) Pendant une semaine, nous serons accueillis dans les familles espagnoles du diocèse de Gérone pour y découvrir une culture différente de chez nous. Puis, nous prendrons le chemin de Madrid où nous vivrons le matin des moments de catéchèse et l’après-midi le festival de la jeunesse. Les trois derniers jours, nous nous rassemblerons autour du pape pour une veillée et la messe finale.
Benoît XVI nous confie : « Chers jeunes, l’Eglise compte sur vous ! Elle a besoin de votre foi vivante, de votre charité créative et du dynamisme de votre espérance. Votre présence renouvelle l’Eglise, la rajeunit et lui donne un élan nouveau. C’est pourquoi les JMJ sont une grâce non seulement pour vous, mais aussi pour l’Eglise »
Vous pouvez aider les jeunes !
Il y a deux façons d’aider les jeunes à partir :
La première est la prière : portez dans votre prière les jeunes qui se rendront cet été à Madrid.
La deuxième est plus matérielle. Le voyage a un coût, c’est pourquoi nous vous proposerons différentes actions dans les paroisses.
A l’invitation du Pape, els jeunes du Pas-de-Calais se mobilisent pour partir. Avant les JMJ, certains gagneront Lourdes, d’autres iront quelques jours en camp à Perpignan, d’autres se rendront directement à Gérone. Mais tous ont la même envie de se rassembler autour du pape pour y vivre un moment fort de leur foi.
Nous vous remercions par avance de l’aide que vous apporterez aux jeunes et nous vous assurons de notre prière.

Pierre

Photo 2 : les jeunes au Lycée saint Pierre (Photo B. Bouquet)


L’orgue


« On estimera hautement, dans l'Eglise latine, l'orgue à tuyaux comme l'instrument traditionnel dont le son peut ajouter un éclat admirable aux cérémonies de l'Eglise et élever puissamment les âmes vers Dieu et le ciel..". (Constitution conciliaire sur la sainte liturgie, Paragraphe 120).
En ce mois de juin et à quelques jours de la fête de la musique, portons notre attention à cet instrument qui accompagne nos liturgies : le Roi des instruments, l’Orgue à tuyaux. Par la richesse de ses sons, l’orgue est « le symbole vivant de l’unité dans la diversité et appelle toute communauté chrétienne à la devenir » (source ANFOL). Allons à la découverte de ce symbole d’unité…
Au premier regard, quand vous êtes dans la nef, l’instrument, situé le plus souvent sur une tribune, se compose d’un buffet de Grand Orgue (Ardres) auquel y est adjoint un buffet, à la dimension plus modeste le Positif, positionné au bord de la tribune (Nielles-les-Ardres, Tournehem). Ces buffets en bois sont plus ou moins sculptés et garnis de tuyaux. Ces tuyaux que vous apercevez sur la façade ne sont qu’une toute petite partie de la tuyauterie et composent le jeu de « Montre ». En réalité, chaque buffet enferme une forêt de tuyaux et l’ensemble de la mécanique.

Photo DSCF 7008 : l’orgue de Nielles les Ardres (photo F. Cordonnier)

 

Accédez à la tribune…
Pour le découvrir de plus près, poussez la porte d’accès à la tribune et vous gagnerez l’instrument par un escalier en colimaçon ou une échelle de meunier. Une fois arrivé au pied de l’instrument, vous aurez sous les yeux la console qui regroupe les claviers, le pédalier et les tirants de registre (photo ci-dessous). Avec l’autorisation de l’organiste, allez jeter un coup d’œil à l’intérieur de l’instrument. Vous serez très surpris de constater une forêt de tuyaux en bois ou en métal, de différentes tailles, largeurs ou formes (photo ci-contre). Les plus grands tuyaux peuvent dépasser les 10 mètres de haut et les plus petits à peine 1 centimètre. Plus un tuyau est grand et plus il sera grave. En fonction de ces différences, les tuyaux produiront des sons graves ou aigus, doux ou incisifs. Ce sont les différents jeux de l’orgue. Ils se répartissent en deux grandes familles : les jeux à bouche (bourdon, flûte, principal, doublette, …) dont le principe de fonctionnement est identique à celui de la flûte à bec ou du sifflet et les jeux à anche (trompette, clairon, cromorne, voix humaine) à celui de la clarinette. Comme pour la flûte ou la clarinette, tous ces tuyaux ont besoin d’air pour parler. L’orgue n’est pas qu’un instrument à clavier, il est aussi un instrument à vent. Pour cela, un ventilateur va produire de l’air qui sera mis sous pression. Cet air sous pression va parvenir au pied de chaque tuyau. Lorsque l’organiste appuie sur une touche (par exemple celle de Do1), il permet l’accès de l’air à tous les tuyaux de Do1. Pour faire chanter le Do1 du bourdon ou de la trompette, il suffira à l’organiste de tirer à la console le registre correspondant et l’air sera libéré dans le tuyau. Retournez à la console de l’instrument et vous constaterez que ces différents jeux sont répartis sur les claviers et le pédalier. Ainsi chaque jeu ayant une couleur sonore différente, chaque clavier aura sa propre palette sonore. Comme le peintre mélange ses couleurs, l’organiste va mélanger ses jeux au gré des moments liturgiques, des chants et de la foule.
Voici une visite rapide d’un orgue à tuyaux, si vous souhaitez découvrir cet instrument de plus près, rapprochez vous de vos organistes qui se feront un plaisir de vous faire découvrir leur instrument.

 

Photos : Img 2474 : la console
img 2476 : la forêt des tuyaux (Photos F.X. Yvart)

Et si vous parrainiez un tuyau d’orgue ?
Il y a quelques années, l’orgue historique de Nielles-les-Ardres était restauré (la tribune, la menuiserie, la mécanique et une partie des tuyaux). Pour qu’il retrouve sa splendeur, la dernière tranche de travaux va commencer visant à reconstruire les tuyaux du positif (8 jeux). Pour cela, l’association fait appel à votre générosité en relançant une souscription volontaire donnant droit à une réduction d’impôt.

Votre nom ou celui de la personne de votre choix sera gravé sur chaque tuyau parrainé. Il suffit de renvoyer à l’association des Amis de l’Orgue de Nielles-les-Ardres (Mairie de Nielles –F- 62610) le bulletin ci-dessous en y joignant une enveloppe timbrée pour recevoir votre reçu :

NOM et Prénom du souscripteur : ………………………………………………………………..

Adresse : …………………………………………………………………………………………….
____ petit(s) tuyau(x) à 15 € soit ___________€
____ moyen(s) tuyau(x) à 30 € soit ___________€
____ grand(s) tuyaux(x) à 60 € soit ___________€
____ très grand(s) tuyaux à 90 € soit ___________€

Total à régler ___________€ :

Règlement à l’ordre de l’association : « Les amis de l’Orgue de Nielles les Ardres »
Siège social : Mairie de Nielles les Ardres – 62610

Nom(s) et Prénom(s) à graver sur chaque tuyau parrainé :
M…….
M…….

François Xavier Yvart


TRIBUNE LIBRE


La valeur a plus d’un sens
« Le temps est un grand maître, il règle bien des choses. Corneille »

Pour connaître la valeur d’une année,
Demande à un étudiant qui a échoué aux examens de fin d’année.

Pour connaître la valeur d’un mois,
Demande à une mère qui a accouché prématurément.

Pour connaître la valeur d’une semaine,
Demande à un éditeur d’un hebdomadaire.

Pour connaître la valeur d’une heure,
Demande à un couple d’amoureux qui attend impérativement de se revoir.

Pour connaître la valeur d’une minute,
Demande à quelqu’un qui a raté son train, son avion, son bus…

Pour connaître la valeur d’une seconde,
Demande à quelqu’un qui a survécu à un accident.

Pour connaître la valeur d’une milliseconde
Demande à quelqu’un qui a gagné une médaille d’argent aux Jeux Olympiques.

Le temps n’attend personne :
Profite de chaque moment qui t’est donné, car il est précieux.
Partage-le avec un être qui t’est cher et il sera encore plus précieux

Auteur inconnu

Bulletin d’abonnement à Regard en Marche
Abonnement annuel normal : 14 € Abonnement annuel de soutien : 16 €
Le renouvellement de l’abonnement au magazine mensuel Regard en Marche se fait avec le numéro de janvier. Je peux m’abonner en cours d’année, il m’en coûte 1 € 35 par mois
Je m’abonne à Regard en Marche
Nom : ………………………………………… Prénom : …………………………………
Adresse : ……………………………………………………………………………………
Code Postal : ……………………… Ville : …………………………………………………
Je joins un chèque à l’ordre de la Paroisse d’Ardres
A renvoyer ou à déposer au Secrétariat paroissial (à l’église d’Ardres)
Rue de l’Arsenal – 62610 – Ardres
(Le secrétariat est ouvert tous les matins de 10 h à 12 h du mardi au samedi)

Voir d'anciens extraits:

2006 : Fevrier , mars , avril, mai, juin, juillet aout, sept/oct(non communiqué), novembre, décembre

2007 : janvier, fevrier, mars , avril, mai , juin, juillet aout, septembre , octobre, novembre , decembre

2008 :janvier, fevrier, mars, avril, mai , juin, juillet aout, HS Sept, septembre , octobre , novembre , decembre , HS déc,

2009 : janvier , fevrier , mars , avril , HS avril , Mai , Juin , HS Juin , Juillet Aout, HS Sep, Septembre, Octobre, Novembre, Decembre,

2010 : janvier , fevrier , mars , avril , Mai , Juin , Juillet Aout, Hors série de Septembre, Septembre, Octobre, Novembre, Décembre,

2011 : janvier, février mars avril mai hors serie juin juin septembre octobre novembre decembre

2012: janvier, février mars avril mai juin juillet-aout septembre octobre novembre decembre

2013 : janvier, février, mars non communiqué, avril, mai, juin , juillet , aout, septembre, octobre, novembre,decembre non communiqués

2014: janvier, février, mars, avril, mai non communiqués, juin, novembre decembre

2015: janvier, février, mars Paray-le-Monial decembre

2016: février, mars, mai, novembre,

2017: janvier , février , mars, avril, mai, juin, juillet, aout, septembre, octobre, novembre, décembre.

2018: janvier , février, mars, avril, mai, juin, juillet, aout, septembre, octobre, novembre, décembre.

2020: janvier , février , mars, avril, mai, juin, juillet, aout, septembre, octobre, novembre, décembre.

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