extraits du journal local REGARD EN MARCHE
Lu dans le journal paroissial de l'Ardrésis
LA VIE DE NOS COMMUNAUTES CHRETIENNES
Avril 2013
..
Nos dimanches,
des oasis dans le temps Philippe, Marie, infirmière au centre hospitalier presque en retraite, et Sahrah, la trentaine, racontent leurs dimanches. Pour chacun, ce jour apparaît comme un moment privilégié de la semaine.
Mes dimanches d’avant Troisième d’une fratrie de sept, nous étions cinq quand les événements se sont passés. Le dimanche, jour du Seigneur, nos parents étaient assi- dus à la messe, nous devions les suivre. Mais avant il y avait tout un protocole qui ne dérogeait pas d’un dimanche sur l’autre. Dans ces temps-là, il y avait un prêtre dans chaque paroisse, et la messe y était célébrée chaque dimanche. A Ardres il y avait deux messes, notre mère allait à la pre- mière messe à 7h30, pendant que notre père s’occupait des enfants. A tour de rôle il réveillait l’un de nous cinq pour essuyer la vaisselle de la veille au soir. Puis il préparait le petit déjeuner avant de réveiller les autres, en entrant dans les chambres en disant : “debout les morts !” Ensuite à chacun de se lever pour déjeuner avec le pain qu’il avait préparé. Puis notre mère revenait de l’office du matin, préparait les “habits du dimanche” et l’on s’habillait pour 10h afin de partir à la grand-messe de 10h30 à pied. Après l’office nous allions raccompa- gner notre grand- tante pour boire quelque chose de rafraîchissant, pendant que notre père partait jouer à la belote avec des compagnons. C’était immuable. Les enfants rentraient ensemble à pieds avec comme unique consigne de revenir avant notre père, aucun retard n’était admis. Nous déjeu- nions ensemble sans regarder la télé- vision, et l’après-midi était consacré à la visite de nos grands-parents par le bus “Citroën” en remplacement du petit train de la ligne d’Anvin. Philippe
Mes dimanches à moi Mon dimanche, mes enfants partis vivre loin de la maison, est d’abord pour moi un jour de repos avec la promesse d’une bonne sieste. Je me lève tous les jours à 6 heures pour partir au travail, alors, le dimanche, je me lève plus tard. Quand ceux-ci ne sont pas pluvieux, je me pousse à faire une heure de marche à une allure assez soute- nue pour compenser le piétinement du travail. L’après-midi, le repas dominical terminé, je pars dans la chambre pour une sieste afin de récupérer le manque de sommeil accumulé dans la semaine. En fin de l’après-midi, nous avons la visite de ma sœur et de son mari ou nous partons avec mon époux rendre visite à nos parents. Marie
Pour moi les dimanches représen- tent la famille, le repos, la tradition, la messe, le rassemblement. Le dimanche de mon enfance com- mençait toujours par le choix des beaux habits pour aller à la messe. Même si, à cette époque, je n’étais pas chrétienne, j’avais l’impression d’être accueillie dans une grande famille. Pendant près d’une heure, cette grande famille se recueillait avec beaucoup de joie et de sérénité. J’aimais ce moment que je ne com- prenais pas forcément, mais où tout le monde semblait heureux et apaisé. Bien souvent, la journée continuait avec le traditionnel repas de midi, qui était identique chaque dimanche : “poulet, frites, salade”, en famille, avec parfois oncles et tantes de pas- sage. La jolie nappe, la belle vais- selle, les verres à pied et l’apéro complétaient ce traditionnel tableau. Le reste de la journée était consacré aux jeux en famille, aux promenades et, parfois, aux tâches ménagères. Nous rangions nos chambres. Puis c’était les petites révisions des leçons car le dimanche annonçait quand- même la reprise du lundi ! Sahrah
Au fil du temps
Quand un Père s’en va...
L’ annonce de la démission de Benoît XVI à détonné dans le monde entier et en chacun de nous, croyants et incroyants. Cette déci- sion a été, sans aucun doute, mûre- ment réfléchie et prise pour le bien de l’Eglise toute entière. Aujourd’hui, nous le saluons pour son humilité et son courage. Nous ne doutons pas que là où il va, il priera pour chacun de nous. Selon André XXIII, la portée spirituelle de sa démission est très grande : abandon de sa propre volonté pour se soumettre à la réa- lité, celle qui conduit notre vie. Puissions-nous discerner dans cet événement un appel de Dieu à vivre plus fraternellement. Un nouveau pape va succéder à Benoît XVI... A nous de vivre cette élection, non pas dans le désarroi, mais dans la foi en la résurrection. Puisque le pape ne peut “ni se trom- per, ni nous tromper”, comme l’ont appris ceux de ma génération sur les bancs du catéchisme, ayons la certitude que Dieu le Père a envoyé son Esprit pour que notre Eglise rayonne dans le monde. Alessia Guiliani- Christiane Liné
13 février 2013 : Benoît XVI se retirant à la fin de l’audience générale dans la salle Paul VI, au Vatican.
Quand j’aurai...
Au matin de ma vie, je disais...
Quand j’aurai 30 ans, je ne courrai plus comme un lièvre, pattes hautes et derrière blanc, fré- missant de l’oreille au moindre craquètement, Il me faut vite laisser une trace, raconter mon histoire afin qu’elle serve aux générations à venir, à mes petits-enfants. DR-CIRIC enthousiaste, fébrile, impatient. Je serai un adulte rassis, bien au chaud dans sa vie ; je n’em- brasserai plus le vent. “A 30 ans tu seras bien jeune encore et bien débutant”, disait maman. Soit. Faisons bonne mesure... Quand j’aurai 40 ans, je serai ins- tallé, maison, femme, enfants, le verbe calme, le geste assuré. Je n’irai plus à la fenêtre guetter les chances du matin, m’offrir aux sautes de vent. Un jour, j’eus 40 ans. Attends, attends encore, disais- je, les enfants ne sont pas assez grands, la maison à crédit, le métier
Il me faut vite laisser une trace, raconter mon histoire afin qu’elle serve aux générations à venir, à mes petits-enfants.
Vingt années de bonheur.
La
vie humaine comporte trois parties
de durée équivalente
Le temps de l’enfance, des études, des projets. Puis celui de l’action et des réalisations : mariage, famille, vie professionnelle.
Et le troisième, l’âge de la retraite. Ils sont nombreux les retraités. Chaque année dans le secteur de l’Ardrésis, de nombreuses per- sonnes prennent leur retraite. Ils sont courageux, les retraités. Ils s’adaptent à une nouvelle vie, soi- gnent leurs vieux parents, ils aident leurs enfants, ils jouent avec leurs petits-enfants. Ils font face à des problèmes de santé. Ils sont généreux, les retraités. Ils mettent de l’huile dans les rouages grippés de la société. On les trouve partout dans les clubs culturels, dans les groupes de randonnée, et surtout dans les associations. Ils sont heureux les retraités. Ils ne subissent plus le stress du travail salarié ; ils ont la sagesse de l’âge, ils ont une bonté d’âme acquise dans les difficultés passées. qui se transforme, les stages, les déplacements. Les démons de midi qui m’échauffent le sang ! Tout cela n’aura qu’un temps. Quand j’aurai 60 ans... Ah ! Quand j’aurai 60 ans, je vivrai ma retraite avec gourmandise, je savourerai les minutes comme chat qui s’étire, je serai patient, doux, indulgent ; je n’écouterai plus le vent. J’ai eu 60 ans, les clubs, les asso- ciations, les voyages, les petits- enfants. Il faut vite faire ceci, voir cela avant que la vie ne m’échappe. J’écouterai toujours la chanson du vent. Ah, disais-je, quand j’aurai 80 ans... Me voici octogénaire, j’aperçois déjà la porte étroite où toute vie disparaît un jour. Il me faut vite laisser une trace, raconter mon his- toire afin qu’elle serve aux généra- tions à venir, à mes petits-enfants. Je n’ai vraiment plus le temps de bayer aux corneilles. Ah ! Quand j’aurai 100 ans... Henry Brunel
Sautez sur l’occasion avec le MCR “Quand un retraité rencontre un retraité, il parle de sa vie de retraité...” Jeudi 11 avril, un car nous prendra à Ardres et nous conduira à Bagatelle près de Berck pour une journée de partage, de réflexion et de relations. Marie-Thérèse Lebrun nous racontera sa vie remplie d’activités et nous transmettra son dynamisme de retraitée. Petit cadeau offert par le Mouvement chrétien des retraités : 23 euros seulement pour le voyage et le repas. Demandez des précisions sur le déroulement et sur le but de cette journée départementale à Jean-Paul Chavaudra chavaudra.jean-paul@orange.fr.
“Bon courage...”
Messe du dimanche de la santé. Le thème de cette année : “Donne-moi ta parole” met en
lumière l’importance de la relation avec les malades, mais aussi avec leurs proches.
concerne
dans
chaque
il existe
C ela nousfamille, et tous :quides
gens éprouvés, seuls pour
le
rapport avec l’autre est ténu, voire
inexistant.
C’est compliqué de s’adresser à
une personne en perte d’autonomie,
soit parce qu’elle est âgée et que les
problèmes de la vie quotidienne
ne semblent pas l’intéresser, soit
parce qu’elle souffre de maladie.
Et là, nous n’osons pas prendre la
parole, car bien peu savent com-
ment s’adresser aux plus faibles.
A cet égard, je veux vous faire part
d’une réaction entendue il y a peu.
Nous sommes dans un hôpital. Un
couple sort du cabinet d’un spécia-
liste et l’homme essaie d’engager la
conversation. Il s’exprime difficile-
ment et son épouse s’en agace...
Dans la salle d’attente, un autre
couple dont la femme est visible-
ment “absente”. Le mari sourit en
entendant les propos émaillés de
trucs et bidules...
Vous compatissez ? demande la
femme. Non, pas du tout lui répond-
il. Je comprends votre réaction,
mais je vais vous dire une chose :
je ne supporte plus la pitié des gens
et encore moins le “bon courage”
qui suit...
Le “bon courage” cache
notre incapacité à
comprendre, à aider.
Même s’il est dit de
bonne foi, celui ou celle
à qui il s’adresse n’est
pas reçu comme un
encouragement, loin de là !
Voilà, tout est dit. Les accompa-
gnants des malades assument le
mieux possible les difficultés de la
vie quotidienne. La pitié, ils n’en
ont pas besoin. Ce qu’ils souhaitent
c’est d’être traités avec gentillesse.
La parole est source de réconfort
quand elle est donnée dans un sens
positif. Les propos misérabilistes ne
font qu’augmenter la douleur de se
sentir différent, vulnérable.
Le “bon courage” cache notre inca-
pacité à comprendre, à aider. Même
s’il est dit de bonne foi, celui ou
celle à qui il s’adresse n’est pas reçu
comme un encouragement, loin de
là ! Il faut savoir se rendre auprès du
malade avec le sourire et lui appor-
ter l’air dont il a besoin : la vie telle
que nous la vivons, lui parler sim-
plement de projets, d’amitié. Une
parole qui génère de la joie à être
ensemble avec l’entourage... Les
mots viendront simplement !
Françoise
Infos jeunes lycéens
Pèlerinage à Taizé
A partir de 15 ans,
du 14 au 21 avril 2013
Préinscription en ligne à privilégier :
adosjeunes@arras.catholique.fr
A la suite de votre préinscription,
un dossier à compléter vous sera
retourné.
Prix : 150 euros.
De Rio à Saint-Omer A partir de 16 ans Pour toute inscription aux “JMJ Rio”, s’adresser à Laurent Boucly.
Temps Fort : JMJ à Saint-Omer Pour les personnes ne pouvant aller à Rio, un temps fort Journée diocésaine de la jeunesse du 24 au 27 juillet 2013 est proposé.
- Début du temps fort : mercredi 24 juillet à 10h.
- Fin du temps fort : samedi 27 juillet à 16h,
place de la Ghlière (près de la gare de Saint-Omer).
Temps de catéchèse chaque jour, veillée, partages,
repas à bonne franquette.
Découvertes des richesses culturelles et cultuelles de
la ville sous forme de rallye.
Organisation d’une flash-mob.
Concert veillée de louange par le groupe de
Saint-Omer. Le diocèse de Canterbury est invité pour
assurer un concert aussi.
Temps de liberté dans la ville de Saint-Omer
Prix : 95 euros
Couchage sous la tente, intendance par des bénévoles.
Inscription en ligne.
Pèlerinage à Lourdes Du 1er au 7 août 2013 Recherche d’animateurs : un pour le camp de jeunes (17/18 ans), deux pour les enfants (de 7 à 15 ans). Pas besoin de diplômes particuliers car pris dans le cadre d’un pèlerinage. Prix : 350 euros S’adresser au Service des pèlerinages à Arras. Infos jeunes collégiens
Marche d’Amette Le 7 septembre 2013 Marche intergénérationnelle “Petits pas vers le bonheur”.
Camp foot et paix, réservé aux garçons. Du 6 au 12 juillet 2013 Dans un lycée privé à Bapaume avec le père Pierre Poidevin et une équipe d’animateurs. Intervention de clubs professionnels Chaque matin, temps de prière, petite catéchèse (durée : 15 mn) à partir de l’évangile. Notion de respect de l’autre. Entraînements, formations d’équipes et tournois. Camp déclaré “Jeunesse et sport” Prix : 175 euros A noter que les parents devront amener leurs enfants et les reprendront à Bapaume. Participation de Xavier Lamblé et Vincent Blain
. Camp doyenné du Calaisis Christelle Vieillard réfléchit à faire une proposition d’un camp Kohn Lana ! (quatre jours et trois nuits). Marie-Hélène Barre se propose pour une initiation au tennis. Marche de Boulogne Du 22 au 25 août 2013 Avec une proposition pour les collégiens d’un jeu de piste dans Boulogne le 22 août 2013.
Camps MEJ A noter que le MEJ propose également des camps jeunes. Pour tout renseignement, voir le site du MEJ sur internet.
C’est dimanche, et alors ? Et alors ? Et alors, si nous laissions ce beau jour nous bichonner, nous gâter, nous câliner. repos, on sort longue housse d’hi- Jour de de dessous saquila chaise ver ou le vieux relax traîne au fond du garage ; on s’aménage un petit espace dehors bien à l’abri du vent du nord de ce mois d’avril et des bruits de la route, un plaid de secours et... c’est le bonheur. Le soleil est là pour s’occuper de nous. En poussant un peu, j’essaye de pratiquer la relaxation. Pour moi qui n’ai jamais pris le temps de m’y attarder, j’imagine que ce doit être un peu ce sentiment d’aban- don. Juste se faire un peu violence au départ pour chasser ces pensées parasites, le rapport à rendre pour mercredi, le courrier aux impôts, absolument, le lait qui manque à ajouter à la liste de courses indis- pens... stop ! Mes orteils, plus rien n’existe qu’eux ; il paraît que c’est comme ça qu’il faut commencer pour apprendre à lâcher prise. Pas si facile, les sournoises pensées s’immiscent à nouveau, il faut lut- ter encore. Mais quand, peu à peu, émerge l’essentiel, une grande sensation de force et de paix nous comble. D’autres, comme Rimbaud, en ont parlé à leur façon : “Je ne parle- rai pas, je ne penserai rien : mais l’amour infini me montera dans l’âme, Et j’irai loin, bien loin, comme un bohémien, Par la nature, heureux comme avec une femme.” Tout s’éclaire. “Regardez les oiseaux du ciel : ils ne sèment ni ne moissonnent, et ils n’amassent rien dans des greniers ; et votre Père céleste les nourrit. Ne valez- vous pas beaucoup plus qu’eux ?” (Matthieu 6, 26). Cette phrase du sermon sur la montagne s’impose à moi, devient limpide ; elle est un pilier, une ancre, une intemporelle vérité. Le grand voyage en chaise longue du dimanche !
Le chiffre du mois 1 200 chrétiens sont morts à cause de leur foi en 2012, dans le monde. Et ils sont près de 150 millions à être discriminés, attaqués ou pourchassés, selon l’Index mondial de la persécution publié en début d’année. En tête du triste palmarès, la Corée du Nord qui interdit toute religion sur son territoire. Sont ensuite cités par l’Organisation non gouvernementale (ONG) à l’origine de cette enquête annuelle, l’Arabie saoudite, l’Afghanistan, l’Irak et la Somalie. |
La réflexion
du mois Nous avons été créés en forme de croix. L’enfant qui fait ses premiers pas et qui a peur de se casser la gueule ouvre ses bras vers son père et sa mère ; l’homme et la femme quand ils s’aiment s’enlacent de leurs bras ; le prêtre célébrant étend ses bras aux dimensions du monde. (...) L’homme est fait en forme de croix, une croix fragile par rapport à la souffrance. Nous sommes tous des handicapés. Guy Gilbert |
---|
Peu ou beaucoup Saint Pierre n’avait pas grand chose. Mère Teresa n’avait rien. Saint François n’avait plus rien. Saint Benoît non plus. Le curé d’Ars n’avait presque rien. Saint Jean Bosco n’avait plus rien. Sainte Thérèse n’avait qu’un peu. Paul VI à peine un peu plus. Monsieur Vincent n’avait goutte. Saint Bernard n’avait que sa ceinture. Et pourtant ils avaient tout ! |
Le Roi a tout Le président presque tout. Le PDG beaucoup. Le chef a pas mal. Le sous-chef un peu moins. Le top-modèle a le look. Le 1er du top 50 en a 49 derrière lui. Le banquier a de l’argent. La mort prend le banquier et pourtant ils n’ont presque rien Ne vous tracasser pas pour ce que vous mangerez et boirez. Laisser vos soucis. Votre Père du ciel sait ce dont vous avez besoin pour vous. Tracassez-vous donc pour son Royaume. Il vous en sera donné bien plus. |
---|
La pharmacienne Il faut le reconnaître, la pharmacienne est de plus en plus présente dans nos villages. N’est-elle pas au service de notre santé ? Elle déchiffre les ordonnances médicales, en précise le meilleur usage, conseille la maman inquiète, suggère le médicament le moins cher, laisse chacun choisir ce qu’il pense profitable pour leur peau, soigne les petits bobos. L’humanité la remercie et Dieu la bénit. Marie-Claire |
---|
Une recette printanière :
gâteau léger au citron
Marie-Claire
Solidaire
Ingrédients
- 4 œufs
- 130 g de sucre (2/3 de tasse)
- 80 g de beurre
- 120 g de farine (1 tasse)
- 1 sachet de levure chimique
- Jus et zeste d’un citron non traité, ou arôme de
citron.
Séparez les blancs des jaunes d’œufs.
Dans une jatte, battez les jaunes avec le sucre
jusqu’à ce que le mélange blanchisse.
Ajoutez le jus de citron, le beurre fondu, la farine
et la levure.
Battez les blancs en neige avec une pincée de sel
et incorporez-les à la préparation.
Répartissez la pâte dans un moule carré
(20 x 20 cm) ou un moule à manqué beurré
et fariné.
Enfournez environ 20 minutes dans le four
préchauffé à 180° (th. 6).
Laissez refroidir le gâteau et saupoudrez-le
de sucre glace.
Voir d'anciens extraits:
2006 : Fevrier , mars , avril, mai, juin, juillet aout, sept/oct(non communiqué), novembre, décembre
2007 : janvier, fevrier, mars , avril, mai , juin, juillet aout, septembre , octobre, novembre , decembre
2008 :janvier, fevrier, mars, avril, mai , juin, juillet aout, HS Sept, septembre , octobre , novembre , decembre , HS déc,
2009 : janvier , fevrier , mars , avril , HS avril , Mai , Juin , HS Juin , Juillet Aout, HS Sep, Septembre, Octobre, Novembre, Decembre,
2010 : janvier , fevrier , mars , avril , Mai , Juin , Juillet Aout, Hors série de Septembre, Septembre, Octobre, Novembre, Décembre,
2011 : janvier, février mars avril mai hors serie juin juin septembre octobre novembre decembre
2012: janvier, février mars avril mai juin juillet-aout septembre octobre novembre decembre
2013 : janvier, février, mars non communiqué, avril, mai, juin , juillet , aout, septembre, octobre, novembre,decembre non communiqués
2014: janvier, février, mars, avril, mai non communiqués, juin, novembre decembre
2015: janvier, février, mars Paray-le-Monial decembre
2016: février, mars, mai, novembre,
2017: janvier , février , mars, avril, mai, juin, juillet, aout, septembre, octobre, novembre, décembre.
2018: janvier , février, mars, avril, mai, juin, juillet, aout, septembre, octobre, novembre, décembre.
2020: janvier , février , mars, avril, mai, juin, juillet, aout, septembre, octobre, novembre, décembre.
pour toute erreur ou lien manquant: contacter la webmaster merci